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Portugais
Castellano (Espagnol)
Feliz natal ! Feliz navidad ! Joyeux noël!!
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Liahona mai 2007, La lengua de ángeles, Élder Jeffrey R. Holland
Del Quórum de los Doce Apóstoles.
Comme tous les dons et « ce qui vient d’en haut », les paroles sont sacrées et doivent être dites « avec prudence et sous la contrainte de l’Esprit ».
C’est avec cette conscience du pouvoir et de la sainteté des mots que je souhaite nous mettre en garde, si cela est nécessaire, concernant la manière dont nous nous parlons les uns aux autres et dont nous parlons de nous-mêmes.
Il y a une ligne des apocryphes qui souligne la gravité de ce sujet mieux que je ne le pourrais.
Elle dit : « Le coup du fouet laisse une marque dans la chair, mais le coup de la langue brise les os. » Avec cette image cinglante à l’esprit, j’ai été particulièrement impressionné de lire dans le livre de Jacques qu’il y avait un moyen par lequel je pouvais devenir « un homme parfait ».
Jacques a dit : « Nous bronchons tous de plusieurs manières. Mais si quelqu’un ne bronche point en paroles, c’est un homme parfait, capable de tenir tout son corps en bride. »
Continuant l’image de la bride, il écrit : « Si nous mettons le mors dans la bouche des chevaux pour qu’ils nous obéissent, nous dirigeons aussi leur corps tout entier.
« Voici, même les navires, qui sont si grands et que poussent des vents impétueux, sont dirigés par un très petit gouvernail. »
Puis Jacques explique : « De même, la langue est un petit membre Mais un petit feu peut embraser une grande forêt !
« La langue aussi est un feu… placée parmi nos membres, souillant tout le corps… enflammée par la géhenne.
« La langue, aucun homme ne peut la dompter; c’est un mal qu’on ne peut réprimer; elle est pleine d’un venin mortel.
« Par elle nous bénissons le Seigneur notre Père, et par elle nous maudissons les hommes faits à l’image de Dieu.
« De la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction. Il ne faut pas, mes frères, qu’il en soit ainsi. »
Eh bien, c’est très direct ! Il est évident que Jacques ne veut pas dire que notre langue est toujours mauvaise, ni que tout ce que nous disons est « plein d’un venin mortel ». Mais il veut clairement dire qu’au moins certaines de nos paroles peuvent être destructrices, venimeuses même, et cela fait froid dans le dos des saints des derniers jours ! La voix qui rend un témoignage profond, qui murmure des prières ferventes et qui chante les cantiques de Sion peut aussi être celle qui reproche et critique, embarrasse et rabaisse, fait mal et détruit sa propre spiritualité ainsi que celle des autres.
Est-ce une chose à laquelle nous pouvons tous travailler ne serait-ce qu’un peu ? Est-ce un domaine dans lequel nous pouvons chacun essayer d’être un homme ou une femme un peu plus « parfaits » ?
Les sévices physiques sont uniformément et clairement condamnés par l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours. Si tant est qu’il soit possible de condamner encore davantage, nous nous élevons plus vigoureusement contre toute forme de sévices sexuels. Aujourd’hui je m’élève contre les sévices verbaux et émotionnels de quiconque contre quiconque, mais particulièrement du mari contre sa femme. Mes frères, ces choses ne doivent pas être.
Dans le même esprit, nous nous adressons aussi aux sœurs, car le péché des sévices verbaux n’est pas propre à un sexe. Femmes, y a-t-il une langue débridée dans votre bouche, que faites-vous du pouvoir bénéfique ou maléfique de vos paroles ? Comment se fait-il qu’une voix aussi jolie, par nature divine aussi angélique, si proche du voile, si instinctivement douce et intrinsèquement gentille, puisse subitement être si stridente, si acerbe, si mordante et indomptée ? Les paroles d’une femme peuvent être plus acérées que le meilleur des poignards, et elles peuvent pousser les gens qu’elle aime à s’abriter derrière une barrière plus distante que quiconque, au début de cet échange, aurait pu l’imaginer. Sœurs, il n’y a pas de place dans ce magnifique esprit qui est le vôtre pour quelque expression acerbe ou caustique, notamment le commérage, la médisance ou les réflexions désagréables. Qu’il ne soit jamais dit de notre foyer, de notre paroisse ou de notre voisinage que « la langue est un feu, un monde d’iniquité [brûlant] parmi nos membres ».
Aux enfants :
Adressez des paroles constructives aux enfants, toujours. Ne leur dites jamais, même en plaisantant, qu’ils sont gros, bêtes, paresseux ou pas très beaux. Vous ne le feriez pas par méchanceté, mais ils s’en souviendraient et mettraient des années à essayer de l’oublier, et à pardonner. Et essayez de ne pas comparer vos enfants, même si vous pensez que vous êtes doués pour le faire. Vous pouvez dire de manière positive que « Suzanne est jolie et Sandra intelligente », mais tout ce que Suzanne retiendra c’est qu’elle n’est pas intelligente et que Sandra n’est pas jolie. Complimentez chaque enfant individuellement pour ce qu’il est et aidez-le à échapper à l’obsession de notre culture pour la comparaison, la compétition et le sentiment de n’être jamais « à la hauteur ».
Dans tout cela, je pense qu’il va sans dire que les paroles négatives viennent souvent de pensées négatives, notamment de pensées négatives à notre sujet. Nous voyons nos propres fautes, nous nous critiquons en paroles, ou au moins en pensées, et rapidement c’est comme cela que nous voyons tout et tout le monde. Pas de soleil, pas de roses, pas de promesses d’espoir ou de bonheur. Rapidement, nous sommes malheureux et notre entourage aussi.
Portugais (Português).
Liahona mai 2007, A Língua dos Anjos, Élder Jeffrey R. Holland
Do Quórum dos Doze Apóstolos.
Como todas as dádivas que “vêm do céu”, as palavras são sagradas e devem ser ditas “com cuidado e por indução do Espírito”.
É com essa compreensão do poder e santidade das palavras que desejo prevenir a todos, se é que isso é necessario, quanto ao modo como falamos uns com os outros e como falamos de nós mesmos.
Há um versículo de um livro apócrifo que expressa a seriedade dessa questão melhor do que eu. É o seguinte: “O golpe do chicote deixa marcas na carne; mas o golpe da língua quebra os ossos”. Com essa forte imagem em mente, fui particularmente inspirado a ler no livro de Tiago que há um modo pelo qual eu posso me tornar “perfeito”.
Tiago disse: “Porque todos tropeçamos em muitas coisas. Mas se alguém não tropeça em palavra, o tal é perfeito, e poderoso para também refrear todo o corpo”.
Dando continuidade à imagem do freio, ele escreveu: “Ora, nós pomos freio nas bocas dos cavalos, para que nos obedeçam; e conseguimos dirigir todo o seu corpo.
Vede também as navios ou naves que, sendo tão grandes, e levadas de impetuosos ventos, se viram com um bem pequeno leme”.
Então, Tiago chega aonde pretendia: “Assim também a língua é um pequeno membro. Mas vede quão grande floresta um pequeno fogo pode incendiar.
A língua é um fogo, posta entre os nossos membros, e contamina todo o corpo, e é inflamada pelo inferno.
Porque toda a natureza, tanto de bestas feras como de aves, tanto de répteis como de animais do mar foi domada pela natureza humana;
Mas nenhum homem pode domar a língua. É um mal que não se pode refrear; está cheia de peçonha mortal.
Com ela bendizemos a Deus e Pai, e com ela amaldiçoamos os homens, feitos à semelhança de Deus.
De uma mesma boca procede bênção e maldição. Meus irmãos, não convém que isto se faça assim”.
Ora, isso foi muito direto! Evidentemente, Tiago não quis dizer que nossa língua é sempre iníqua, tampouco que tudo o que dizemos é “cheio de peçonha mortal”, mas fica claro que ele quis dizer que ao menos algumas coisas que dizemos podem ser destrutivas, até venenosas—e essa é uma acusação assustadora para um santo dos últimos dias! A voz que presta um profundo testemunho, profere orações fervorosas e canta os hinos de Sião pode ser a mesma voz que deprecia e critica, envergonha e rebaixa, inflige dor e destrói seu próprio espírito e o de outras pessoas no processo. “De uma mesma boca procede bênção e maldição”.
Não será isso algo no qual todos podemos melhorar um pouquinho? Não será um ponto em que todos podemos tentar ser um pouco mais perfeitos?
Esposos
Os maus-tratos físicos são unânime e inequivocamente condenados na Igreja de Jesus Cristo dos Santos dos Últimos Dias. Se for possível ser mais condenatório ainda, denunciamos mais vigorosamente todas as formas de abuso sexual. Hoje, censuro os maus-tratos verbais e emocionais que qualquer pessoa inflija a qualquer outra, mas especialmente os do marido contra a mulher. Irmãos, não convém que isto se faça assim.
As irmãs
Nesse mesmo espírito, falamos também às irmãs, porque o pecado dos maus-tratos verbais não existe apenas nos homens. Esposas, o que dizer da sua língua desenfreada, ou do bem ou mal que as suas palavras podem fazer? Como pode uma voz tão encantadora, que por natureza divina e tão angelical, tão naturalmente espiritual, tão instintivamente gentil e intrinsecamente bondosa, tornar-se estridente, mordaz, ácida e descontrolada? As palavras de uma mulher podem ser mais cortantes do que qualquer adaga já forjada e podem fazer com que seus entes queridos se ocultem por trás de uma barreira mais intransponível do que se poderia imaginar. Irmãs, não há lugar nesse seu espírito magnífico para qualquer tipo de expressão ácida ou cáustica, inclusive para a fofoca, a difamação ou os comentários maldosos. Que jamais se possa dizer, de nossa casa, ala ou vizinhança, que “a língua é um fogo; como mundo de iniqüidade [queimando] entre os nossos membros”.
As crianças
Sejam edificantes nos comentários que fazem às crianças —sempre. Nunca digam para uma criança, nem por brincadeira, que ela é gorda, burra, preguiçosa ou feia. Vocês jamais fariam isso por maldade, mas elas se lembrarão disso e podem passar vários anos tentando esquecer — e perdoar. E não tentem comparar seus filhos uns com outros, mesmo que achem que sabem fazer isso com tato. Vocês podem dizer de modo muito positivo que “Susana é bonita, e Sandra é inteligente”, mas Susana só vai-se lembrar que não é inteligente, e Sandra, que não é bonita. Elogiem cada filho individualmente pelo que ele é, e ajudem-no a escapar da obsessão de nossa cultura em comparar, competir e de nunca sentir que somos “suficientemente bons”.
Nisso tudo, suponho que não seja nem preciso dizer que as palavras negativas geralmente são resultado de pensamentos negativos, inclusive a nosso próprio respeito. Vemos nossas próprias faltas, falamos (ou ao menos pensamos) de modo crítico a nosso próprio respeito e, em pouco tempo, é assim que passamos a ver a tudo e a todos, sem um raio de sol, sem rosas nem qualquer promessa de esperança ou felicidade. Em pouco tempo, nós e todos ao nosso redor passamos a nos sentir péssimos.
Castelano (Espagnol).
Liahona mayo 2007, La lengua de ángeles Élder Jeffrey R. Holland Del Quórum de los Doce Apóstoles.
Como todos los dones “que vienen de arriba”, las palabras son “sagradas, y deben expresarse con cuidado y por constreñimiento del Espíritu”.
Siguiendo con la imagen del freno, escribe: “He aquí nosotros ponemos freno en la boca de los caballos para que nos obedezcan, y dirigimos así todo su cuerpo.
Una línea de los textos apócrifos expresa la gravedad de ese asunto mejor que yo; dice así: “Las heridas causadas por azotes quedan en la piel; las heridas causadas por la lengua rompen los huesos”. Con esa desagradable imagen en la mente, me impresionó en forma particular leer en el libro de Santiago que había una manera mediante la que podía ser “varón perfecto”.
Santiago dijo: “Porque todos ofendemos muchas veces. Pero si alguno no ofende en palabra, éste es varón perfecto, capaz también de refrenar todo el cuerpo”.
“Mirad también las naves; aunque tan grandes, y llevadas de impetuosos vientos, son gobernadas con un muy pequeño timón…”
Entonces Santiago señala: “ la lengua es también un miembro pequeño… Pero he aquí, ¡cuán grande bosque enciende un pequeño fuego!
“…la lengua es un fuego… entre nuestros miembros, y contamina todo el cuerpo… y… es inflamada por el infierno.
“Porque toda naturaleza de bestias, y de aves, y de serpientes, y de seres del mar… ha sido domada por la naturaleza humana;
“pero ningún hombre puede domar la lengua, que es un mal que no puede ser refrenado, llena de veneno mortal.
“Con ella bendecimos al Dios y Padre, y con ella maldecimos a los hombres, que están hechos a la semejanza de Dios.
“De una misma boca proceden bendición y maldición. Hermanos míos, esto no debe ser así”.
Y bien, ¡ésas son palabras sumamente francas! Obviamente, Santiago no quiere decir que nuestras lenguas sean siempre inicuas, ni que todo lo que digamos esté “lleno de veneno mortal”, pero claramente quiere decir que por lo menos algunas de las cosas que decimos pueden ser destructivas, e incluso venenosas, ¡y ésa es una acusación escalofriante para un Santo de los Últimos Días! La voz que expresa un testimonio sincero, que pronuncia fervientes oraciones y que canta los himnos de Sión, puede ser la misma voz que vitupera y critica, que avergüenza y denigra, que ocasiona dolor y destruye el espíritu de uno mismo y con ello, el de los demás. “De una misma boca proceden bendición y maldición”, se lamenta Santiago.
¿Es esto algo en lo que todos podríamos mejorar aunque sea un poco? ¿Es éste un aspecto en el que todos podríamos esforzarnos por asemejarnos más a un varón o una mujer “perfectos”?
En La Iglesia de Jesucristo de los Santos de los Últimos Días se condena el maltrato físico de manera uniforme e inequívoca. Si es posible condenar más que eso, nos oponemos de manera aún más enérgica contra todas las formas de abuso sexual. Hoy hablo contra el abuso verbal y emocional de cualquier persona hacia otra, pero en especial, el de los esposos hacia las esposas. Hermanos, esto no debe ser así.
En ese mismo espíritu nos dirigimos también a las hermanas, ya que el pecado del abuso verbal no conoce las barreras del género. Esposas, ¿han considerado la lengua desenfrenada de sus bocas, o el poder que sus palabras tienen para bien o para mal? ¿Cómo es posible que una voz tan hermosa, que por naturaleza divina es tan angelical, tan cerca del velo, tan instintivamente tierna e inherentemente amable, pueda de pronto volverse tan estridente, tan cortante, tan agria y agresiva? Las palabras de la mujer pueden ser más punzantes que cualquier puñal que se haya creado, y pueden ocasionar que las personas a las que ustedes aman se retraigan tras una barrera más distante de lo que se imaginaron. Hermanas, en el espléndido espíritu que poseen no hay lugar para expresiones mordaces o ásperas de ninguna clase, ni siquiera los chismes, las murmuraciones o los comentarios venenosos. Que nunca se diga de nuestro hogar, de nuestro barrio o de nuestro vecindario que “la lengua es un fuego, un mundo de iniquidad… [que quema] entre nuestros miembros”.
Siempre sean constructivos en los comentarios que les hagan a los niños; nunca les digan, ni siquiera como broma, que son gordos, tontos, perezosos o pocos atractivos. Ustedes nunca lo harían con el intento de causarles daño, pero ellos lo recordarán y tal vez luchen por años para tratar de olvidar y de perdonar. Traten de no comparar a los niños, aunque piensen que tienen habilidad para hacerlo. Tal vez digan de la manera más positiva que “Susana es bonita y Sandra es muy inteligente”, pero todo lo que Susana recordará es que ella no es inteligente; y Sandra, que ella no es bonita. Elogien a cada hijo individualmente por lo que es, y ayúdenlo a escapar de la obsesión que tiene nuestra cultura de comparar, de competir y de nunca sentir que son lo “suficientemente” buenos.
En ese respecto, supongo que sobra decir que el hablar de manera negativa muchas veces resulta del pensar negativamente, incluso de nosotros mismos. Vemos nuestras propias faltas; hablamos, o por lo menos pensamos, en tono de crítica de nosotros mismos, y al poco tiempo, es así como vemos a todos y a todo; somos incapaces de ver las cosas buenas de la vida, como la luz del sol, las rosas o la promesa de esperanza o de felicidad. Al poco tiempo, tanto nosotros, como los que nos rodean, somos desdichados.
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Pourquoi marcher sur le chemin des alliances ?
Par D. Todd Christofferson du Collège des douze apôtres. Liahona mai 2021.
Qu’est-ce que le chemin des alliances ?
C’est le seul chemin qui mène au royaume céleste de Dieu. Trop souvent, nous sommes à l’origine de nos problèmes ou de nos épreuves. Ils sont le résultat de mauvais choix, ou de ce que l’on pourrait qualifier de « fautes directes ». Quand nous avançons diligemment sur le chemin des alliances, nous évitons tout naturellement bon nombre de « fautes directes ». Nous évitons les nombreuses formes de dépendances. Nous ne tombons pas dans le fossé de la conduite malhonnête. Nous franchissons le gouffre de l’immoralité et de l’infidélité. Nous contournons les personnes et les choses qui, quand bien même elles sont populaires, compromettraient notre bien-être physique et spirituel. Nous évitons les choix qui nuisent à autrui ou les désavantagent et prenons au contraire l’habitude de l’autodiscipline et du service.
Certains pourraient dire : « Je peux faire de bons choix, avec ou sans le baptême. Je n’ai pas besoin d’alliances pour être quelqu’un d’honorable ni pour réussir. » Il y a, en effet, beaucoup de personnes qui, sans se trouver sur le chemin des alliances, prennent des décisions et apportent des contributions qui rappellent celles des personnes qui se trouvent sur le chemin. On pourrait dire qu’ils récoltent les bénédictions qui découlent du fait qu’ils marchent sur un chemin conforme aux alliances.
Alors en quoi le chemin des alliances est-il différent ?
En fait, la différence est d’une importance sans pareille et éternelle. Elle comprend la nature de notre obéissance, le caractère de l’engagement de Dieu envers nous, l’aide divine que nous recevons, les bénédictions liées au rassemblement du peuple de l’alliance et chose plus importante encore, notre héritage éternel.
Dans le cadre des alliances, nous sommes déterminés à faire plus qu’éviter les erreurs ou être prudents dans nos décisions. Nous nous sentons responsables devant Dieu de nos choix et de notre vie. Nous prenons sur nous le nom du Christ. Nous nous concentrons sur lui, nous efforçant d’être vaillants dans le témoignage de Jésus et de nous imprégner de sa personnalité.
« Jésus a dit : Entrez par la porte étroite ; car étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent. » Au sens figuré, cette porte est si étroite qu’on ne peut y entrer qu’un à la fois. Chaque personne prend un engagement personnel envers Dieu et reçoit en retour une alliance personnelle sur laquelle elle pourra s’appuyer complètement dans le temps et l’éternité. Les ordonnances de la prêtrise et les alliances manifestent le pouvoir de la divinité dans notre vie.
Les saints fidèles à leurs alliances « se lèveront à la résurrection des justes ». Ils sont « parvenus à la perfection par l’intermédiaire de Jésus, le médiateur de la nouvelle alliance. Ce sont ceux dont le corps est céleste, dont la gloire est celle du soleil, oui, la gloire de Dieu, la plus haute de toutes ». « C’est pourquoi tout est à eux, que ce soit la vie ou la mort, les choses qui sont présentes ou les choses qui sont à venir, tout est à eux, et ils sont au Christ, et le Christ est à Dieu. »
Português (Portugais)
Por que trilhar o caminho do convênio?
Élder D. Todd Christofferson Do Quórum dos Doze Apóstolos, Liahona maio 2021.
O que é o caminho do convênio?
É o caminho que nos conduz ao reino celestial de Deus. Embarcamos no caminho pelas portas do batismo e depois “prosseguimos com firmeza em Cristo, tendo um perfeito esplendor de esperança e amor a Deus e a todos os homens [os dois grandes mandamentos] até o fim”. Na trajetória do caminho do convênio (que a propósito, ultrapassa a mortalidade), recebemos todas as ordenanças e os convênios pertinentes à salvação e exaltação.
Com frequência, nossos problemas ou desafios são autoinfligidos, como resultado de más escolhas, ou podemos dizer, como resultado de “erros não forçados”. Quando seguimos diligentemente o caminho do convênio, evitamos muitos “erros não forçados” de maneira bastante natural. Nós nos desviamos das várias formas de vício. Não caímos no buraco da conduta desonesta. Atravessamos o abismo da imoralidade e da infidelidade. Ignoramos pessoas e coisas que, apesar de serem populares, comprometeriam nosso bem-estar físico e espiritual. Evitamos as escolhas que machucam ou prejudicam outras pessoas e, em vez disso, adquirimos os hábitos da autodisciplina e do serviço.
Algumas pessoas podem dizer: “Posso fazer boas escolhas com ou sem o batismo; não preciso de convênios para ser uma pessoa honrosa e bem-sucedida”. Certamente, há muitas pessoas que não estão no caminho do convênio cujas ações refletem as escolhas e contribuições daqueles que estão no caminho. Pode-se dizer que essas pessoas recebem as bênçãos de trilhar um caminho “consistente com os convênios”.
Então o que diferencia o caminho do convênio?
Na verdade, o que diferencia tem significado eterno e único. Inclui a natureza de nossa obediência, a essência do compromisso de Deus para conosco, a ajuda divina que recebemos, as bênçãos que estão ligadas a nos reunirmos como povo do convênio e, acima de tudo, nossa herança eterna.
Com os convênios, nós nos concentramos em fazer mais do que apenas evitar erros ou ser prudentes em nossas decisões. Sentimos que devemos prestar contas à Deus por nossas escolhas e nossa vida. Tomamos sobre nós o nome de Cristo. Estamos centralizados em Cristo — em ser valentes no testemunho de Jesus e em desenvolver o caráter de Cristo.
“Jesus disse : Entrai pela porta estreita, porque estreita é a porta e apertado é o caminho que leva à vida e poucos são os que o encontram.” Falando de modo figurado, essa porta é tão apertada que apenas permite que uma pessoa entre de cada vez. Cada pessoa faz um compromisso individual com Deus e recebe Dele um convênio pessoal, exclusivo, no qual ela pode confiar plenamente para a vida e para a eternidade. Com as ordenanças e os convênios, o poder da divindade se manifesta em nossa vida.
Aqueles que forem leais aos convênios que fizeram “surgirão na ressurreição dos justos”. Eles são “aperfeiçoados por meio de Jesus, o mediador do novo convênio . Estes são aqueles cujo corpo é celestial, cuja glória é a do sol, sim, a glória de Deus, a mais elevada de todas”. “Portanto, todas as coisas são suas, seja a vida ou a morte, as coisas presentes ou as coisas futuras, todas são deles e eles são de Cristo e Cristo é de Deus.”
Castellano (Espagnol)
El porqué de la senda de los convenios.
Por el élder D. Todd Christofferson Del Cuórum de los Doce Apóstoles, Liahona maio 2021.
¿Qué es la senda de los convenios?
Es aquella senda que nos conduce hacia el Reino Celestial de Dios. Nos embarcamos en esa senda desde la puerta del bautismo y luego “seguimos adelante con firmeza en Cristo, teniendo un fulgor perfecto de esperanza y amor por Dios y por todos los hombres los dos grandes mandamientos hasta el fin”. En el curso de la senda de los convenios (la cual, por cierto, se extiende más allá de la vida terrenal), recibimos todas las ordenanzas y convenios pertenecientes a la salvación y la exaltación.
Con demasiada frecuencia, nuestros problemas o desafíos son autoinfligidos, el resultado de malas decisiones o, podríamos decir, la consecuencia de “errores no forzados”. Cuando seguimos diligentemente la senda de los convenios, evitamos de forma bastante natural muchos “errores no forzados”; esquivamos diversos tipos de adicción; no caemos en el foso de las mentiras ni la conducta deshonesta; cruzamos el abismo de la inmoralidad y la infidelidad sin caer; eludimos a las personas y las cosas que, aunque sean populares, pondrían en peligro nuestro bienestar físico y espiritual; evitamos las decisiones que dañan o perjudican a otras personas y, más bien, adquirimos hábitos de autodisciplina y de servicio.
Alguien podría decir: “Puedo tomar buenas decisiones con o sin el bautismo; no necesito convenios para ser una persona honorable y exitosa”. Ciertamente hay muchas personas que, aunque no se encuentran en la senda de los convenios, actúan de un modo que refleja las decisiones y contribuciones de aquellas que están en la senda. Se podría decir que reciben las bendiciones de transitar un camino “coherente con los convenios”.
¿Cuál es, entonces, la diferencia de la senda de los convenios?
En realidad, la diferencia es singular y eternamente significativa. Incluye la naturaleza de nuestra obediencia, el carácter del compromiso de Dios hacia nosotros, la ayuda divina que recibimos, las bendiciones ligadas al recogimiento como pueblo del convenio y, lo que es más importante, nuestra herencia eterna.
Con los convenios, no solo estamos resueltos a evitar errores o ser prudentes con nuestras decisiones, sino que nos sentimos responsables ante Dios por nuestras decisiones y por nuestra vida. Tomamos sobre nosotros el nombre de Cristo; nos centramos en Cristo, en ser valientes en el testimonio de Jesús y en cultivar el carácter de Él.
“[Jesús] dijo : Entrad por la puerta estrecha, porque estrecha es la puerta, y angosto el camino que conduce a la vida, y pocos son los que lo hallan”. Hablando en sentido figurado, esa puerta es tan estrecha que permite que solo entre una persona a la vez. Cada una asume un compromiso individual con Dios, y a cambio recibe de Él un convenio individual, por nombre, en el que puede confiar incondicionalmente por el tiempo y la eternidad. Con las ordenanzas y los convenios, “se manifiesta el poder de la divinidad” en nuestras vidas.
Quienes son leales a sus convenios “saldrán en la resurrección de los justos”. Son “hechos perfectos mediante Jesús, el mediador del nuevo convenio ; son aquellos cuyos cuerpos son celestiales, cuya gloria es la del sol, sí, la gloria de Dios, el más alto de todos”. “Por consiguiente, todas las cosas son suyas, sea vida o muerte, o cosas presentes o cosas futuras, todas son suyas, y ellos son de Cristo y Cristo es de Dios”.
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Liahona 2003, Message des instructrices visiteuses, Se préparer à rencontrer Dieu.
J’aime beaucoup ce que nous dit Harold B. Lee : Nous serons jugés devant le juste Juge qui prendra en compte nos capacités et nos limites, nos possibilités et nos handicaps.
Alma 34:32 : « Cette vie est le moment où les hommes doivent se préparer à rencontrer Dieu ; oui, voici, le jour de cette vie est le jour où les hommes doivent accomplir leurs œuvres. »
Marvin J. Ashton (1915–94) du Collège des douze apôtres : « Les dix vierges (voir Matthieu 25:1-13) représentent les membres de l’Église de Jésus-Christ, et pas seulement les gens du monde.
Chacun de nous a le devoir et la possibilité d’avoir de l’huile dans sa lampe personnelle. Il est impossible de partager l’huile de la préparation spirituelle… On pouvait acheter de l’huile au marché dans la parabole, mais dans notre vie, elle s’accumule au fil d’une vie juste, goutte après goutte » (« A Time of Urgency », Ensign, mai 1974, p. 36).
Harold B. Lee (1899-1973) : « Depuis combien de temps remettez-vous à plus tard le jour de votre repentir de vos mauvaises actions ? Nous serons jugés devant le juste Juge qui prendra en compte nos capacités et nos limites, nos possibilités et nos handicaps. Celui qui pèche, qui se repent et qui par la suite accomplit, pendant sa vie, de bonnes choses ne perdra peut-être pas autant au jour du juste jugement que celui qui, sans avoir commis de péché grave, échoue lamentablement en refusant de faire ce qu’il avait la capacité et l’occasion d’accomplir » (Enseignements des présidents de l’Église, Harold B. Lee , 2000, p. 229).
Dallin H. Oaks, du Collège des douze apôtres : « Le jugement dernier ne sera pas une simple évaluation de la somme des actions bonnes et mauvaises, de ce que nous aurons fait. Ce sera la constatation de l’effet définitif de nos actions et pensées, de ce que nous serons devenus. Il ne suffit pas d’agir superficiellement. Les commandements, les ordonnances et les alliances de l’Évangile ne sont pas la liste des dépôts à faire sur un compte céleste. L’Évangile de Jésus-Christ est un plan qui nous montre comment devenir ce que notre Père céleste désire que nous devenions » (« Ce que nous devons devenir », Le Liahona, janvier 2001, p. 40).
Alma 5:28 : « Voici, êtes-vous dépouillés de l’orgueil ? Je vous le dis, si vous ne l’êtes pas, vous n’êtes pas préparés à rencontrer Dieu. »
Moroni 7:47 : « Mais la charité est l’amour pur du Christ… et tout ira bien pour quiconque sera trouvé la possédant au dernier jour. » Spencer W. Kimball (1895-1985) : « Aux personnes qui écoutent l’avertissement et se préparent, qui seront trouvées à minuit avec l’huile de la justice dans leur lampe, qui ont de la patience, de la longanimité et qui sont pleinement consacrées, la promesse est faite qu’elles siègeront au banquet avec leur Seigneur » ( Faith Precedes the Miracle, 1972, p. 257)
Português (Portugais).
Liahona 2003, Mensagem das Professoras Visitantes : Preparar-se para Encontrar Deus.
Gosto tanto do que falou Haroldo B. Lee: O julgamento a que seremos submetidos será diante do Justo Juiz que levará em conta nossas capacidades e limitações, nossas oportunidades e desvantagens.
Alma 34:32: “Esta vida é o tempo para os homens prepararem-se para encontrar Deus; sim, eis que o dia desta vida é o dia para os homens executarem os seus labores”.
Élder Marvin J. Ashton (1915–1994), do Quórum dos Doze Apóstolos: “As dez virgens (ver Mateus 25:1–13) representam as pessoas da Igreja de Jesus Cristo, e não apenas as pessoas do mundo. A responsabilidade de termos azeite em nossas lâmpadas é uma exigência e oportunidade individual. O azeite da preparação espiritual não pode ser compartilhado. O azeite da parábola poderia ter sido comprado no mercado, mas, em nossa vida ele é acumulado pelo viver digno, uma gota por vez”. [“A Time of Urgency”, (Um Tempo de Pressa), Ensign, maio de 1974, p. 36.]
Presidente Harold B. Lee (1899– 1973): “Há quanto tempo vocês adiam a ocasião do arrependimento de suas faltas? O julgamento a que seremos submetidos será diante do Justo Juiz que levará em conta nossas capacidades e limitações, nossas oportunidades e desvantagens. Quem pecar e se arrepender e depois preencher sua vida com obras significativas, não perderá tanto quanto um outro que, embora não tenha cometido um pecado sério, fracasse terrivelmente por não ter feito o que permitiam suas aptidões e oportunidades”. ( Ensinamentos dos Presidentes da Igreja: Harold B. Lee. 2001, p. 229.)
Élder Dallin H. Oaks, do Quórum dos Doze Apóstolos: “O julgamento final não é apenas um balanço do total de atos bons e ruins, ou seja, do que fizemos. É a constatação do efeito final de nossos atos e pensamentos, ou seja, do que nos tornamos. Não basta fazer tudo mecanicamente. Os mandamentos, ordenanças e convênios do evangelho não são uma lista de depósitos que precisamos fazer numa conta bancária celestial. O evangelho de Jesus Cristo é um plano que nos mostra como podemos ser o que nosso Pai Celestial deseja que nos tornemos.” (“O Desafio de Tornar-se”, A Liahona, jan. de 2001, p. 40.)
Alma 5:28: “Eis que estais despidos de orgulho? Digo-vos que, se não o estais, não estais preparados para comparecer perante Deus”.
Morôni 7:47: “Caridade é o puro amor de Cristo e para todos os que a possuírem, no último dia tudo estará bem”.
Presidente Spencer W. Kimball (1895–1985): “Para os que dão ouvidos à advertência e fazem seus preparativos, para os encontrados à meia-noite com o azeite da retidão em suas lâmpadas, para os com paciência, longanimidade e dedicação plena, a promessa é de que sentar-se-ão no banquete com seu Senhor”. ( Faith Precedes the Miracle (A Fé Precede o Milagre) 1972, p. 257.)
Castellano (Espagnol).
Liahona 2003, Mensaje de las maestras visitantes Preparémonos para comparecer ante Dios.
Me gustas las palabras de Harold B. Lee que dice : El juicio que enfrentaremos será ante el Juez Justo que tendrá en cuenta tanto nuestra capacidad como nuestras limitaciones, nuestras oportunidades y nuestras desventajas.
Alma 34:32: “esta vida es cuando el hombre debe prepararse para comparecer ante Dios; sí, el día de esta vida es el día en que el hombre debe ejecutar su obra”.
Élder Marvin J. Ashton (1915–1994), del Quórum de los Doce Apóstoles: “Las diez vírgenes [véase Mateo 25:1–13] representan a los miembros de la Iglesia de Jesucristo, y no al mundo en general… La responsabilidad de tener aceite en nuestras lámparas personales es un requisito y una oportunidad individuales. Es imposible compartir el aceite de la preparación individual… En la parábola, el aceite se adquiere en el mercado; pero en el diario vivir, se acumula gracias a una vida recta, gota a gota” (“A Time of Urgency”, Ensign, mayo de 1974, pág. 36).
Presidente Harold B. Lee (1899– 1973): “¿Desde hace cuánto tiempo han postergado el día del arrepentimiento de sus propias infracciones? El juicio que enfrentaremos será ante el Juez Justo que tendrá en cuenta tanto nuestra capacidad como nuestras limitaciones, nuestras oportunidades y nuestras desventajas. El que peca y se arrepiente, y desde entonces en adelante llena su vida con un esfuerzo impulsado por la determinación, puede no perder tanto en ese día de juicio justo como el que, aun cuando no haya cometido un pecado grave, falle de modo lamentable por no haber hecho lo que tuvo capacidad para hacer y oportunidad de hacer, pero no lo hizo” ( Enseñanzas de los Presidentes de la Iglesia: Harold B. Lee, 2000, pág. 254).
Élder Dallin H. Oaks, del Quórum de los Doce Apóstoles: “El juicio final no es simplemente una evaluación de la suma total de las obras buenas y malas, o sea, lo que hemos hecho . Es un reconocimiento del efecto final que tienen nuestros hechos y pensamientos, o sea, lo que hemos llegado a ser . No es suficiente que cualquiera tan sólo actúe mecánicamente. Los mandamientos, las ordenanzas y los convenios del Evangelio no son una lista de depósitos que tenemos que hacer en alguna cuenta celestial. El Evangelio de Jesucristo es un plan que nos muestra cómo llegar a ser lo que nuestro Padre Celestial desea que lleguemos a ser” (“El desafío de lo que debemos llegar a ser”, Liahona , enero de 2001, pág. 40).
Alma 5:28: ¿os halláis despojados del orgullo? Si no, yo os digo que no estáis preparados para comparecer ante Dios”.
Moroni 7:47: “la caridad es el amor puro de Cristo y a quien la posea en el postrer día, le irá bien”.
Presidente Spencer W. Kimball (1895–1985): “Para aquellos que escuchen las advertencias y hagan los preparativos, para los que se encuentren en la medianoche con sus lámparas llenas del aceite de justicia, para aquellos que tengan paciencia, que perseveren en sus sufrimientos y que tengan una dedicación total, la promesa es que se sentarán en el banquete con su Señor” (véase La fe precede al milagro , 1983, pág. 258).