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    Une paix qui dépasse l’entendement.

    Chapitre 2 : « Je vous donne ma paix »

     

    Enseignements des présidents de l’Église : Howard W. Hunter, 2015

     

     

     

    La paix que le monde attend avec impatience est une époque où les hostilités seront suspendues ; mais les hommes ne comprennent pas que la paix est un état de l’existence qui n’est donné à l’homme que selon les termes fixés par Dieu, pas autrement.

     

     

     

    Ésaïe 26:3,  On ne reçoit la paix parfaite dont parle Ésaïe que si l’on croit en Dieu. C’est quelque chose qu’un monde incrédule ne peut pas comprendre.

     

     

     

    (Je dis, moi, Benedita : Il y a deux commandements dans la Bible que me causent des fortes émotions ou peur. L’écriture qui parle de : « À celui qui a peu, on l’enlèvera et on donnera a celui qui a le double. » C’est dans la parabole des talents.
    (Mathieu 25 
    : 26Son maître lui répondit: Serviteur méchant et paresseux, tu savais que je moissonne où je n'ai pas semé, et que j'amasse où je n'ai pas vanné; 27il te fallait donc remettre mon argent aux banquiers, et, à mon retour, j'aurais retiré ce qui est à moi avec un intérêt. 28Otez-lui donc le talent, et donnez-le à celui qui a les dix talents. 29Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a. 30Et le serviteur inutile, jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.) Et l’autre c’est celle-ci bas.)

     

    Voyez, par exemple, ce commandement du Christ à ses disciples. Il a dit : « Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent et vous persécutent » (Matthieu 5:44).

     

    Imaginez ce que cette exhortation, à elle seule, ferait dans votre voisinage et dans le mien, dans la ville dans laquelle vous et vos enfants vivez, dans les pays qui constituent notre grande famille humaine. Je me rends compte qu’il y a là un grand défi à relever, mais celui-ci est beaucoup plus agréable que ceux de la guerre, de la pauvreté et de la souffrance que le monde continue à endurer6.

     

    Lorsque nous essayons d’aider les personnes qui nous ont offensés, lorsque nous prions pour les gens qui nous ont maltraités, notre vie peut être belle. Nous pouvons avoir la paix quand, en servant le Seigneur et en respectant ses commandements, nous formons une unité avec l’Esprit et entre nous7.

     

    Dieu agit principalement par la persuasion, la patience et la longanimité, non par la contrainte et l’affrontement brutal. Il agit tout en douceur par des sollicitations et des incitations9.

     

    Il n’est fait aucune promesse de paix à qui rejette Dieu, ne respecte pas ses commandements ou viole ses lois. Le prophète Ésaïe s’est exprimé sur la décadence et la corruption des dirigeants et a poursuivi ses admonestations en disant : « Mais les méchants sont comme la mer agitée, Qui ne peut se calmer, Et dont les eaux soulèvent la vase et le limon. Il n’y a point de paix pour les méchants, dit mon Dieu » (Ésaïe 57:20-21). […]

     

    […] L’indifférence vis-à-vis du Sauveur ou le non-respect des commandements de Dieu produit l’insécurité, le désarroi et les querelles. C’est à l’opposé de la paix. On ne peut obtenir la paix que par une soumission inconditionnelle, une soumission à celui qui est le Prince de la paix, à celui qui détient le pouvoir de la conférer10.

     

    Une vie remplie d’actes de service désintéressé sera aussi remplie d’une paix qui dépasse l’entendement. […] On ne peut ressentir cette paix qu’en respectant les principes de l’Évangile. Ces principes constituent le programme du Prince de la paix14.

     

     

     

    3Le Sauveur peut nous aider à trouver la paix dans la tourmente qui nous entoure.

     

    Jésus n’a échappé ni au chagrin ni à la douleur ni à l’angoisse ni aux tourments. Aucune langue ne peut exprimer le fardeau indicible qu’il a porté et nous n’avons pas non plus la sagesse nécessaire pour comprendre la description que le prophète Ésaïe fait de lui lorsqu’il l’appelle « homme de douleur » (Ésaïe 53:3). Sa barque a été agitée pendant la plus grande partie de sa vie et, aux yeux mortels du moins, elle s’est écrasée tragiquement sur la côte rocheuse du Calvaire. On nous demande de ne pas regarder la vie avec des yeux mortels ; grâce à la vision spirituelle, nous savons que quelque chose de tout à fait différent était en train de se produire sur la croix.

     

    La paix était sur les lèvres et dans le cœur du Sauveur, quelle que fût la violence de la tempête en fureur. Qu’il en soit ainsi pour nous, dans notre cœur, dans notre foyer, dans les nations du monde et même dans les tourments que l’Église rencontre de temps en temps. Nous ne devons pas nous attendre à traverser la vie, individuellement ou collectivement, sans quelque opposition16.

     

    On peut vivre dans un cadre beau et paisible et être dans un état constamment tourmenté à cause de dissensions et de discordes internes. D’autre part, on peut se trouver au milieu de destructions totales et des effusions de sang de la guerre et cependant ressentir la sérénité d’une paix indicible. Si nous nous tournons vers l’homme et les voies du monde, nous trouverons la tourmente et la confusion. Mais si nous nous tournons vers Dieu, nous trouverons la paix pour notre âme agitée. Le Sauveur l’explique clairement lorsqu’il dit : « Vous aurez des tribulations dans le monde » (Jean 16:33) ; et dans ce qu’il lègue aux Douze et à toute l’humanité, il précise : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous la donne pas comme le monde la donne […] » (Jean 14:27).

     

    Nous pouvons ressentir cette paix maintenant dans un monde de conflits si nous acceptons son grand don et l’invitation qui s’y ajoute : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes » (Matthieu 11:28-29).

     

     

    Une paix qui dépasse l’entendement.

     

    Português (portugais)

     

     

     

    Capítulo 2: “A Minha Paz Vos Dou”

     

    Ensinamentos dos Presidentes da Igreja: Howard W. Hunter, (2015), 49–60

     

    A paz há tanto ansiada pelo mundo é um tempo de hostilidades suspensas, mas os homens não imaginam que a paz é um estado de existência que só advém ao homem segundo os termos e as condições estabelecidos por Deus, e de nenhuma outra maneira.

     

    Lemos, no Livro de Isaías, as seguintes palavras em um salmo: “Tu conservarás em paz aquele cuja mente está firme em ti; porque ele confia em ti” (Isaías 26:3). Essa paz perfeita mencionada por Isaías só pode advir a alguém mediante a crença em Deus. Isso está além do entendimento de um mundo descrente.

     

    Eu sempre falo, eu, Benedita, Tem dois mandamentos na Bìblia que me dao uma emoçao forte ou medo : Aquela parte que Jesus disse : « Aquele que tem pouco, vou tirar dele esse pouco e dar pra quele que tem o dobro. »(- Mateus 25 : 26 Respondendo, porém, o seu senhor, disse-lhe: Mau e negligente servo; sabes que ceifo onde não semeei e ajunto onde não espalhei; 27 Devias então ter dado o meu dinheiro aos banqueiros, e, quando eu viesse, receberia o meu com os juros. 28 Tirai-lhe pois o talento, e dai-o ao que tem os dez talentos. 29 Porque a qualquer que tiver será dado, e terá em abundância; mas ao que não tiver até o que tem ser-lhe-á tirado.)  E o outro é esse que esta aqui en baixo.

     

    Examinem, por exemplo, esta instrução de Cristo a Seus discípulos: “Amai a vossos inimigos, bendizei os que vos maldizem, fazei bem aos que vos odeiam, e orai pelos que vos maltratam e vos perseguem” (Mateus 5:44).

     

    Pensem no efeito que essa admoestação teria em nossos bairros, nas comunidades em que vivemos e nas nações que formam nossa grande família terrena. Compreendo que essa doutrina representa um grande desafio, mas certamente será um desafio muito mais aceitável do que as terríveis tarefas a nós impostas pela guerra, pela pobreza e pela dor que o mundo continua a enfrentar.6

     

    Quando tentamos ajudar aqueles que nos ofendem, quando oramos por aqueles que são injustos conosco, nossa vida pode ser bela. Podemos sentir paz quando chegarmos à união com o Espírito e uns com os outros, ao servirmos ao Senhor e cumprirmos Seus mandamentos.7

     

    Deus atua principalmente pela persuasão, paciência e longanimidade, e não pela coerção e forte confronto. Ele sempre age com infalível respeito à liberdade e independência que possuímos.9

     

    Não há promessa de paz aos que rejeitam Deus, aos que não cumprem Seus mandamentos ou aos que transgridem Suas leis. O Profeta Isaías falou da decadência e da corrupção de líderes e depois continuou sua admoestação dizendo: “Mas os ímpios são como o mar bravo, porque não se pode aquietar, e as suas águas lançam de si lama e lodo. Não há paz para os ímpios, diz o meu Deus” (Isaías 57:20–21).

     

    Ter indiferença pelo Salvador ou falhar ao cumprir os mandamentos de Deus gera insegurança, tormento e discórdia. Essas coisas são o oposto da paz. “A paz só nos advirá depois de uma rendição incondicional — rendição Àquele Príncipe da Paz, que tem poder para conferir a paz.”10

     

    Uma vida repleta de serviço abnegado também será repleta de paz que ultrapassa o entendimento. (…) Uma paz que só pode existir por meio de viver os princípios do evangelho. Esses princípios constituem o programa do Príncipe da Paz.14

     

     

     

    O Salvador pode ajudar-nos a ter paz, independentemente do tormento ao nosso redor.

     

    Jesus não foi poupado do sofrimento, da dor, da angústia e das bofetadas de Satanás. Não há palavras para descrever o fardo imensurável que levou, como também não temos suficiente discernimento para entender o que o Profeta Isaías quis dizer ao referir-se a Ele como “homem de dores” (Isaías 53:3). Seu barco sofreu embates durante quase toda a vida e, ao menos sob o ponto de vista mortal, naufragou fatalmente na encosta rochosa do Calvário. Somos instruídos a não ver a vida com olhos mortais; por meio da visão espiritual, sabemos que, naquela cruz, algo muito diferente aconteceu.

     

    Havia paz nos lábios e no coração do Salvador, por mais que a tempestade rugisse furiosa. Isso também pode ocorrer conosco — em nosso próprio coração, em nosso lar, entre as nações do mundo e até nas bofetadas de Satanás que a Igreja sofre de vez em quando. Não devemos esperar passar pela vida individual ou coletivamente sem enfrentar oposição.16

     

     

     

    Pode-se viver em locais belos e aprazíveis, mas, se houver dissensão interna e discórdia, viver em um estado de tormento. Por outro lado, pode-se estar em meio à mais completa destruição e ao derramamento de sangue da guerra e ainda desfrutar da serenidade de uma paz indizível. Se olharmos para o homem e para a maneira do mundo, veremos tormento e confusão. Mas, se tão somente nos voltarmos para Deus, encontraremos paz para a alma inquieta. Isso se fez claro nas palavras do Salvador: “No mundo tereis aflições” (João 16:33); e no legado que Ele deixou aos Doze e a toda humanidade, disse: “Deixo-vos a paz, a minha paz vos dou; não vo-la dou como o mundo a dá” (João 14:27).

     

     

     

    Podemos desfrutar dessa paz agora mesmo, neste mundo de conflito, bastando somente aceitar Sua grande dádiva subsequente a Seu convite: “Vinde a mim, todos os que estais cansados e oprimidos, e eu vos aliviarei.

     

    Tomai sobre vós o meu jugo, e aprendei de mim, que sou manso e humilde de coração; e encontrareis descanso para as vossas almas” (Mateus 11:28–29).

     

     

     

    Une paix qui dépasse l’entendement.

     

    Castellano (Espagnol).

     

     

     

    Capítulo 2: “Mi paz os doy”

     

    Enseñanzas de los Presidentes de la Iglesia: Howard W. Hunter, (2015), 52–63

     

    La paz que el mundo ansía es un tiempo en el que se suspendan las hostilidades; pero los hombres no perciben que la paz es un estado de la existencia que llega a un hombre solamente según los términos y condiciones establecidos por Dios, y en ninguna otra forma.

     

    En un salmo del libro de Isaías se encuentran estas palabras: “Tú guardarás en completa paz a aquel cuyo pensamiento en ti se apoya, porque en ti ha confiado” (Isaías 26:3). Esa paz perfecta mencionada por Isaías únicamente nos llega mediante la creencia en Dios. El mundo incrédulo no comprende eso.

     

    Yo Siempre digo, yo, Benedita : Hay dois mandamientos que me causan grandes emociones ò miedo, uno es él que Jesus dice : « Al que tiene poco, se lo quitarè, y le daré al que tiene el doble. » (Mateo 25 :  26 Y respondiendo su señor, le dijo: Malo y negligente siervo, sabías que siego donde no sembré y que recojo donde no esparcí; 27 Por tanto te convenía dar mi dinero á los banqueros, y viniendo yo, hubiera recibido lo que es mío con usura. 28 Quitadle pues el talento, y dadlo al que tiene diez talentos. 29 Porque á cualquiera que tuviere, le será dado, y tendrá más; y al que no tuviere, aun lo que tiene le será quitado. 30 Y al siervo inútil echadle en las tinieblas de afuera: allí será el lloro y el crujir de dientes.) y el otro es él que esta aqui abajo.

     

    Consideremos, por ejemplo, esta enseñanza de Cristo a Sus discípulos: “Amad a vuestros enemigos, bendecid a los que os maldicen, haced bien a los que os aborrecen, y orad por los que os ultrajan y os persiguen” (Mateo 5:44).

     

    Pensemos en lo que esta amonestación, por sí sola, podría lograr en su vecindario y en el mío, en las comunidades en que ustedes y sus hijos viven, y en los países que componen nuestra gran familia mundial. Me doy cuenta de que esa doctrina es difícil de cumplir, pero sin duda es mucho más agradable que tener que sobrellevar las horribles consecuencias que nos imponen la guerra, la pobreza y el dolor que el mundo continúa afrontando6.

     

    Cuando procuramos ayudar a aquellos que nos han ofendido, cuando oramos por aquellos que nos han utilizado de manera injusta, nuestra vida puede ser bella. Podemos gozar de paz al unirnos con el Espíritu y los unos con los otros, al servir al Señor y guardar Sus mandamientos7.

     

    Dios obra principalmente por medio de la persuasión, de la paciencia y de la longanimidad, y no a través de la coerción y de la confrontación violenta. Actúa mediante la amable petición y la dulce persuasión9.

     

    No existe promesa de paz para aquellos que rechazan a Dios, que no están dispuestos a guardar Sus mandamientos, ni quienes quebrantan Sus leyes. El profeta Isaías habló de la decadencia y corrupción de los dirigentes y después prosiguió con sus amonestaciones, al decir: “Pero los malvados son como el mar en tempestad, que no puede estarse quieto, y sus aguas arrojan cieno y lodo. No hay paz para los malvados, dice mi Dios” (Isaías 57:20–21)… 

     

    …La indiferencia hacia el Salvador o la falta de cumplimiento de los mandamientos de Dios trae aparejadas la inseguridad, la agitación interior y la contención. Todo ello es lo contrario a la paz. La paz puede llegar a una persona únicamente mediante una entrega incondicional: la entrega a Aquel que es el Príncipe de Paz, que tiene el poder de conferir la paz10.

     

    El Salvador puede ayudarnos a hallar paz a pesar de la conmoción que nos rodee

     

    A Jesús no se le libró del pesar, de la angustia, del dolor ni de los bofetones. Ninguna lengua puede describir la carga inexpresable que soportó, ni tenemos la sabiduría para comprender la descripción que de Él hizo el profeta Isaías cuando habló del “varón de dolores” (Isaías 53:3). Durante la mayor parte de Su vida, los vientos sacudieron su barco, el cual, al menos a ojos mortales, encalló fatalmente en la costa rocosa del Calvario. No se nos pide que contemplemos la vida con ojos mortales; con el ojo espiritual sabemos que en la cruz sucedió algo muy diferente.

     

    No obstante la ferocidad de la tormenta, hubo paz en los labios y el corazón del Salvador. Que así sea con nosotros: en nuestro corazón, en nuestro hogar, en las naciones del mundo, y aun en medio de los bofetones que de vez en cuando afronta la Iglesia. No debemos pensar que pasaremos por esta vida, ya sea individual o colectivamente, sin atravesar ninguna oposición16

     

    Se puede vivir en un entorno bello y tranquilo pero, a causa de disensiones y discordias internas, encontrarse en un estado de perturbación constante. Por otro lado, uno puede hallarse en medio de una destrucción completa y del derramamiento de sangre que produce la guerra, y aun así tener la serenidad de una paz indescriptible. Si miramos al hombre y el rumbo que sigue el mundo, observamos conmoción y confusión. Si tan sólo nos volvemos a Dios, hallaremos paz para el alma inquieta. Esto quedó claro mediante las palabras del Salvador: “En el mundo tendréis aflicción” (Juan 16:33); y en su legado a los Doce y a toda la humanidad, dijo: “La paz os dejo, mi paz os doy; yo no os la doy como el mundo la da…” (Juan 14:27).

     

    Podemos hallar esta paz ahora en un mundo de conflictos si tan sólo aceptamos Su gran don y además Su invitación: “Venid a mí todos los que estáis trabajados y cargados, y yo os haré descansar.

     

    “Llevad mi yugo sobre vosotros y aprended de mí, que soy manso y humilde de corazón, y hallaréis descanso para vuestras almas” (Mateo 11:28–29).

     

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