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    L'orgueil

     

    L’orgueil et la prêtrise, « octobre 2010 «.

     

    Dieter F. Uchtdorf, Deuxième conseiller dans la Première Présidence

     

    Je crois qu’il y a une différence entre être fier de certaines choses et en tirer de l’orgueil. Beaucoup de choses sont pour moi un sujet de fierté. Je suis fier de ma femme. Je suis fier de nos enfants et de nos petits-enfants.

     

    Je suis fier de la jeunesse de l’Église et je me réjouis de son excellence. Je suis fier de vous mes chers frères fidèles. Je suis fier de me tenir à vos côtés en tant que détenteur de la sainte prêtrise de Dieu.

    L’orgueil est le péché d’auto-élévation

     

    L’orgueil est un péché, comme l’a enseigné de manière si mémorable le président Benson, parce qu’il engendre la haine ou l’hostilité et nous oppose à Dieu et à nos semblables. À la base, l’orgueil est un péché de comparaison car, bien que l’on commence habituellement par dire « Regarde comme je suis merveilleux et comme ce que je fais est magnifique », il semble toujours que l’on termine par dire : « Par conséquent, je suis meilleur que toi. »

     

    Quand notre cœur est rempli d’orgueil, nous commettons un péché grave parce que nous enfreignons les deux grands commandements7. Au lieu d’adorer Dieu et d’aimer notre prochain, nous révélons le véritable objet de notre culte et de notre amour qui est l’image que nous renvoie le miroir.

     

    L’orgueil a de nombreux visages

     

    L’orgueil est un cancer mortel. C’est un péché qui ouvre la porte à quantité d’autres faiblesses humaines. En fait, on pourrait dire que tout autre péché est, essentiellement, une manifestation d’orgueil.

     

    Ce péché a de nombreux visages. Il pousse certains à se délecter de leur suffisance, de leurs réalisations, de leurs talents, de leur richesse ou de leur standing. Ils estiment que ces bénédictions sont la preuve qu’ils sont « élus », « supérieurs » ou « plus justes » que les autres. C’est le péché du « Grâce au ciel, je suis meilleur que toi ». À la base, il y a le désir d’être admiré ou envié. C’est le péché d’auto-glorification.

     

    Pour d’autres, l’orgueil se transforme en envie : ils regardent avec aigreur les gens qui ont de meilleures situations, plus de talents ou plus de biens qu’eux. Ils cherchent à blesser, à rabaisser, à démolir les autres dans une tentative mal avisée et indigne de s’élever. Quand les personnes qu’ils envient trébuchent ou souffrent, ils applaudissent en secret.

     

    Soyez humbles et remplis d’amour

     

    Comment vient-on donc à bout de ce péché d’orgueil qui est si répandu et si préjudiciable ? Comment devient-on plus humble ?

     

    Il est pratiquement impossible d’être élevé dans l’orgueil si notre cœur est rempli de charité. « Nul ne peut apporter son aide à cette œuvre s’il n’est humble et plein d’amour22. » Quand nous regardons le monde qui nous entoure à travers les lentilles de l’amour pur du Christ, nous commençons à comprendre l’humilité.

     

    Il y a des gens qui croient que l’humilité est une affaire d’auto-flagellation. L’humilité ne signifie pas qu’il faille se convaincre que l’on est inutile, que l’on est insignifiant ou que l’on ne vaut pas grand-chose. Cela ne veut pas dire non plus qu’il faille nier ou retenir les talents que Dieu nous a donnés. On ne découvre pas l’humilité en ayant une moins bonne opinion de soi, on la découvre en pensant moins à soi. On la découvre en accomplissant son travail avec l’attitude de celui qui sert Dieu et son prochain.

     

    L’humilité dirige notre attention et notre amour vers les autres et vers les desseins de notre Père céleste. L’orgueil a l’effet inverse. Il tire son énergie et sa force des puits profonds de l’égoïsme. Dès que nous cessons d’être obsédés par nous-mêmes et que nous nous perdons dans le service, notre orgueil diminue et commence à mourir.

     

    Enseignements des présidents de l’Église, Ezra Taft Benson, (2014), 229–40

     

    Dans son premier discours de conférence générale en tant que président de l’Église, Ezra Taft Benson a enseigné les différences entre l’orgueil et l’humilité :

     Prenez garde à l’orgueil,

     

    « L’orgueil est le péché universel, le plus grand des vices. Le remède à l’orgueil est l’humilité. »

     

    « L’orgueil ne se tourne pas vers Dieu pour considérer ce qui est juste, mais il se tourne vers les hommes pour argumenter sur qui a raison. […]

     

    « L’orgueil se caractérise par la question : ‘Qu‘est-ce que je veux dans la vie ?’ Plutôt que par ‘qu’est-ce que Dieu veut que je fasse de ma vie ?’ L’orgueil tourne vers sa propre volonté plutôt que celle de Dieu. C’est la crainte de l’homme avant la crainte de Dieu.

     

    « L’humilité répond à la volonté de Dieu, à la crainte de ses jugements et aux besoins de ceux qui sont autour de nous. Pour les orgueilleux, les applaudissements du monde résonnent dans leurs oreilles ; pour les humbles, les applaudissements des cieux réchauffent leur cœur1

     

    Pour la plupart d’entre nous, l’orgueil est synonyme d’égotisme, de vanité, de vantardise, d’arrogance ou de morgue. Ce sont tous des éléments du péché mais ils n’en sont pas l’essentiel.

     

    Le trait essentiel de l’orgueil est l’inimitié, inimitié à l’égard de Dieu et de nos semblables. L’inimitié c’est la haine, l’hostilité ou l’opposition.

     

    L’orgueil est par nature source de compétition. Notre volonté se rebelle contre celle de Dieu. Quand notre orgueil est dirigé contre Dieu, nous voulons que notre volonté se fasse et non la sienne. Comme Paul l’a dit : « ils cherchent leurs propres intérêts, et non ceux de Jésus-Christ » (Philippiens 2:21).

     

    Notre volonté, en s’opposant à la volonté de Dieu, permet à nos désirs, à nos appétits et à nos passions de s’exprimer sans frein (voir Alma 38:12 ; 3 Néphi 12:30).

     

    Les orgueilleux ne peuvent pas accepter que l’autorité de Dieu dirige leur vie (voir Hélaman 12:6).

     

    Notre inimitié à l’égard de Dieu s’exprime de bien des façons : nous nous rebellons, nous avons le cœur dur et le cou raide, nous refusons de nous repentir, nous sommes enflés d’orgueil, nous nous offensons facilement, et nous recherchons des signes. Les orgueilleux voudraient que Dieu soit d’accord avec eux. Ils ne veulent pas rectifier leurs opinions pour être en accord avec lui.

     

    Un autre aspect important de l’orgueil, ce péché si répandu, est l’inimitié à l’égard de nos semblables. Nous sommes chaque jour tentés de nous élever au-dessus des autres et de les diminuer (voir Hélaman 6:17 ; D&A 58:41).

     

    Les orgueilleux font de tous les hommes des adversaires en leur opposant leur intellect, leurs opinions, leurs œuvres, leur richesse, leurs talents ou tout autre critère profane. Comme l’a dit C. S. Lewis : « L’orgueilleux, quand il a quelque chose, n’en tire de plaisir que s’il en a plus que son prochain. […] C’est la comparaison, le plaisir d’être au-dessus des autres, qui font de nous des orgueilleux. Faites disparaître la notion de compétition, et c’en est fini de l’orgueil » (Mere Christianity, New York : Macmillan, 1952, p. 109-110).

     

    C’est à cause de l’orgueil que le Christ fut crucifié. Les Pharisiens étaient irrités parce que Jésus disait qu’il était le Fils de Dieu, ce qui présentait un danger pour leur position, et ils complotèrent de le faire mourir (voir Jean 11:53).

     

    Certains orgueilleux se préoccupent moins d’avoir un salaire qui suffise à leurs besoins que d’avoir un salaire supérieur à celui des autres. Ils sont satisfaits quand ils sont au-dessus des autres. C’est là l’inimitié qui caractérise l’orgueil.

     

    Quand l’orgueil a prise sur nous, nous perdons notre indépendance vis-à-vis du monde et nous aliénons notre liberté et devenons esclaves du jugement des hommes. Les cris du monde s’entendent davantage que les murmures de l’Esprit. Le raisonnement des hommes vient à bout des révélations de Dieu, et les orgueilleux lâchent la barre de fer (voir 1 Néphi 8:19-28 ; 11:25 ; 15:23-24)9.

     

    La plupart des gens considèrent que l’orgueil est un péché qui n’affecte que les gens d’un rang élevé, les gens riches et les gens instruits par exemple, qui méprisent les autres (voir 2 Néphi 9:42). Mais il existe une maladie beaucoup plus répandue parmi nous : l’orgueil des petites gens qui voudraient occuper un rang élevé. Cela se manifeste de bien des façons : critiques, commérages, plaintes, dépenses excessives, envie, convoitise, refus d’exprimer de la reconnaissance ou des compliments qui pourraient édifier les autres, refus de pardonner et jalousie.

     

    La désobéissance est essentiellement une lutte pour le pouvoir inspirée par l’orgueil contre quelqu’un qui a autorité sur nous. Il peut s’agir d’un parent, d’un dirigeant de la prêtrise, d’un professeur, ou même de Dieu. L’orgueilleux déteste que quelqu’un soit placé au-dessus de lui. Il pense que cela l’abaisse.

     

    Un autre aspect de l’orgueil est la querelle. Les disputes, les conflits, les dominations injustes, les fossés entre générations, les mauvais traitements aux conjoints, les émeutes et les soulèvements sont tous liés à l’orgueil.

     

    Les querelles au foyer éloignent l’Esprit du Seigneur. Elles éloignent également beaucoup de membres de notre famille. Les querelles vont d’une parole hostile aux conflits mondiaux. Les Écritures nous disent que « c’est seulement par orgueil qu’on excite des querelles » (Prov. 13:10 ; voir aussi Prov. 28:25).

     

    Les Écritures témoignent que les orgueilleux s’offensent facilement et gardent de la rancœur (voir 1 Néphi 16:1-3). Ils refusent de pardonner pour que l’offenseur leur reste obligé et pour justifier leur ressentiment.

     

    Les orgueilleux n’acceptent aisément ni les conseils ni les réprimandes (voir Prov. 15:10 ; Amos 5:10). Ils adoptent une attitude défensive pour justifier leurs faiblesses et leurs échecs (voir Matt. 3:9 ; Jean 6:30-59).

     

    Les orgueilleux ont besoin de l’opinion des autres pour savoir s’ils ont ou non de la valeur. L’opinion qu’ils ont d’eux-mêmes est déterminée par la mesure que l’on donne de leurs succès profanes. Ils ont le sentiment d’avoir de la valeur s’il y a suffisamment de gens qui ont moins de succès, de talent, de beauté ou d’intelligence. L’orgueil est hideux. Il affirme : « Si tu réussis, j’échoue. »

     

    Le remède à l’orgueil est l’humilité.

     

    Le remède à l’orgueil est l’humilité : la douceur, la soumission (voir Alma 7:23). C’est le cœur brisé et l’esprit contrit (voir 3 Néphi 9:20 ; 12:19 ; D&A 20:37 ; 59:8 ; Ps. 34:18 ; Ésaïe 57:15 ; 66:2).

     

    Choisissons d’être humbles.

     

    Nous pouvons choisir de nous humilier en surmontant l’inimitié à l’égard de nos frères et sœurs, en les estimant comme nous-mêmes et en les élevant aussi haut ou plus haut que là où nous sommes (voir D&A 38:24 ; 81:5 ; 84:106).

     

    Nous pouvons choisir d’être humbles en acceptant les conseils et les réprimandes (voir Jacob 4:10 ; Hélaman 15:3 ; D&A 63:55 ; 101:4-5 ; 108:1 ; 124:61, 84 ; 136:31 ; Prov. 9:8).

     

    Nous pouvons choisir d’être humbles en pardonnant à ceux qui nous ont offensés. (voir 3 Néphi 13:11, 14 ; D&A 64:10).

     

    Nous pouvons choisir de nous humilier en rendant un service désintéressé (voir Mosiah 2:16-17).

     

    Nous pouvons choisir de nous humilier en partant en mission et en prêchant la parole qui peut rendre les autres humbles (voir Alma 4:19 ; 31:5 ; 48:20).

     

    Nous pouvons choisir de nous humilier en nous rendant plus souvent au temple.

     

    Nous pouvons choisir d’être humbles en confessant et en abandonnant nos péchés, et en étant né de Dieu (voir D&A 58:43 ; Mosiah 27:25-26 ; Alma 5:7-14, 49).

     

    Nous pouvons choisir d’être humbles en aimant Dieu, en nous soumettant à sa volonté, et en lui donnant la première place dans notre vie (voir 3 Néphi 11:11 ; 13:33 ; Moroni 10:32).

     

    Nous devons purifier l’intérieur du vase en surmontant notre orgueil (voir Alma 6:2-4 ; Matthieu 23:25-26).

     

    Nous devons nous rendre « aux persuasions de l’Esprit-Saint », nous dépouiller « de l’homme naturel » orgueilleux, devenir des saints « par l’expiation du Christ, le Seigneur », et devenir comme des enfants, soumis, doux, humbles (voir Mosiah 3:19 ; voir aussi Alma 13:28).

     

     

    L'orgueil

     

    Portugais (português)

     

    O Orgulho e o Sacerdócio 

    (Outubro 2010 ). Dieter F. Uchtdorf , Segundo Conselheiro na Primeira Presidência

     

    O Orgulho É o Pecado do Enaltecimento Próprio

    Creio que há uma diferença entre termos orgulho de certas coisas e sermos orgulhosos. Tenho orgulho de muitas coisas. Tenho orgulho de minha mulher. Tenho orgulho de nossos filhos e netos.Tenho orgulho da juventude da Igreja e regozijo-me em suas boas qualidades. Tenho orgulho de vocês, meus queridos e fiéis irmãos. Tenho orgulho de estar ombro a ombro com vocês, como portadores do santo sacerdócio de Deus.

    O orgulho é pecaminoso, como o Presidente Benson ensinou de modo tão memorável, porque gera ódio ou hostilidade e nos coloca em oposição a Deus e a nosso próximo. Em seu cerne, o orgulho é um pecado de comparação, porque embora geralmente comece com “vejam como sou maravilhoso e que coisas grandiosas fiz”, aparentemente sempre termina com “portanto, sou melhor que você”.

    Quando temos o coração cheio de orgulho, cometemos um pecado grave, porque quebramos os dois grandes mandamentos. 7 Em vez de adorar a Deus e amar nosso próximo, revelamos o verdadeiro objeto de nossa adoração e amor: a imagem que vemos no espelho.

     O Orgulho Tem Muitas Faces

    O orgulho é um câncer mortal. É uma via de acesso ao pecado que conduz a uma infinidade de outras fraquezas humanas. De fato, poderíamos dizer que todos os outros pecados são, em essência, uma manifestação do orgulho.

    O orgulho tem muitas faces. Ele leva alguns a se deleitarem em seu próprio valor individual, realizações, talentos, riqueza ou posição. Contam essas bênçãos como prova de que são “escolhidos”, “superiores” ou “mais justos” do que os outros. Esse é o pecado de “Graças a Deus sou mais especial que você”. Em seu âmago está o desejo de ser admirado ou invejado. É o pecado da glorificação própria.

    Para outros, o orgulho se manifesta na inveja: olham com amargura para os que têm uma posição melhor, mais talentos ou mais posses do que eles. Procuram magoar, rebaixar e humilhar os outros, numa tentativa equivocada e indigna de elevarem-se a si mesmos. Quando as pessoas que eles invejam caem ou sofrem, no íntimo eles se alegram.

    Ser Humilde e Cheio de Amor

    Mas como vencemos esse pecado do orgulho que é tão frequente e prejudicial? Como nos tornamos mais humildes?

    É quase impossível elevar-nos no orgulho se nosso coração estiver cheio de caridade. “Ninguém pode participar desta obra, a menos que seja humilde e cheio de amor.” 22 Quando vemos o mundo a nosso redor através da lente do puro amor de Cristo, começamos a compreender a humildade.

    A humildade dirige nossa atenção e nosso amor para os outros e para os propósitos do Pai Celestial. O orgulho faz o contrário. O orgulho tira sua energia e força do profundo poço do egoísmo. Assim que paramos de ficar obcecados por nós mesmos e nos entregamos completamente ao serviço, nosso orgulho diminui e começa a morrer.

     Acautelai-vos contra o Orgulho

    Ensinamentos dos Presidentes da Igreja: Ezra Taft Benson, 2014.

    Em seu primeiro discurso numa conferência geral como Presidente da Igreja, o Presidente Ezra Taft Benson falou sobre as diferenças entre o orgulho e a humildade:

     


    O orgulho é o pecado universal, o grande vício. O antídoto para o orgulho é a humildade.” “O orgulho não atenta para Deus e não se importa com o que é certo. Olha de lado para os homens e discute quem está certo. (…)

    O orgulho se caracteriza por: ‘O que eu quero da vida?’ Em lugar de ‘O que Deus quer que eu faça com minha vida?’ É a vontade própria opondo-se à vontade de Deus. É colocar o temor aos homens acima do temor a Deus.

    A humildade responde à vontade de Deus — ao temor de Seu julgamento — e às necessidades de nossos semelhantes. O aplauso do mundo agrada ao ouvido do orgulhoso; mas, para o humilde, o aplauso dos céus aquece o coração”.1

    A maioria considera o orgulho egocentrismo, convencimento, jactância, arrogância ou soberba. Tudo isso faz parte do pecado, mas continua faltando a essência, o cerne.

    O cerne do orgulho é a inimizade — inimizade para com Deus e para com nossos semelhantes. Inimizade quer dizer “ódio, hostilidade ou oposição”. É o poder pelo qual Satanás quer reinar sobre nós.

    O orgulho é essencialmente competitivo por natureza. Opomos nossa vontade à de Deus. Quando dirigimos nosso orgulho contra Deus, é no sentido de “seja feita a minha vontade, não a tua”. Como dizia Paulo, eles “buscam o que é seu, e não o que é de Cristo Jesus” (Filipenses 2:21).

    Nosso desejo de competir com a vontade de Deus gera uma vazão desenfreada de desejos, apetites e paixões (ver Alma 38:12; 3 Néfi 12:30).

    O orgulhoso não consegue aceitar que sua vida seja dirigida pela autoridade de Deus (ver Helamã 12:6). Ele opõe sua percepção da verdade ao conhecimento maior de Deus, sua capacidade ao poder do sacerdócio de Deus, suas realizações às poderosas obras Dele.

    Nossa inimizade para com Deus assume muitos rótulos, como: rebeldia, coração endurecido, obstinação, impenitência, soberba, suscetibilidade e incredulidade. Os orgulhosos querem que Deus concorde com eles. Não estão interessados em mudar de opinião para concordar com Deus.

    Outro componente importante desse pecado imperioso é a inimizade para com nossos semelhantes. Somos tentados diariamente a considerar-nos melhores do que os outros e a diminuí-los (ver Helamã 6:17; D&C 58:41).

    Os orgulhosos fazem de todos os homens seus adversários, lançando seu intelecto, suas opiniões, suas obras, suas posses, seus talentos ou qualquer outro mecanismo mundano de medida contra seus semelhantes. Nas palavras de C. S. Lewis: “O orgulho não se compraz em ter alguma coisa, somente em ter mais do que o próximo. (…) É a comparação que os torna orgulhosos: o prazer de sentir-se acima dos demais. Tirando-lhe o elemento competitivo, o orgulho desaparece” (Mere Christianity [Cristianismo Puro e Simples], New York: Macmillan, 1952, pp. 109–110, tradução livre).

    O orgulhoso teme mais o julgamento dos homens do que o julgamento de Deus (ver D&C 3:6–7; 30:1–2; 60:2). “O que os homens pensarão de mim?” pesa mais do que: “O que Deus pensará de mim?”

    Foi o orgulho que provocou a crucificação de Cristo. Os fariseus se enfureceram por Jesus declarar-Se o Filho de Deus, pois isso ameaçava sua posição; então, tramaram Sua morte (ver João 11:53).

    Para certas pessoas orgulhosas, é mais importante saber se seu salário é superior ao de outra pessoa do que se a quantia que recebem atende às próprias necessidades. Sua recompensa é estar sempre acima dos demais. Essa é a inimizade do orgulho.

    Quando o orgulho toma conta de nosso coração, perdemos nossa independência do mundo e entregamos nossa liberdade ao cativeiro do julgamento humano. O mundo fala muito mais alto do que os sussurros do Espírito Santo. O raciocínio dos homens prevalece sobre as revelações de Deus, e o orgulhoso larga a barra de ferro (ver 1 Néfi 8:19–28; 11:25; 15:23–24).9

    A maioria considera o orgulho como um pecado de pessoas eminentes, como os ricos e os instruídos, que olham de cima para o resto de nós (ver 2 Néfi 9:42). Existe, porém, um mal muito mais comum entre nós: o orgulho dos que de baixo olham para cima. Este se manifesta de inúmeras maneiras, como críticas, maledicência, difamação, resmungos, viver acima das posses, inveja, cobiça, reprimir gratidão e louvor que poderia edificar outra pessoa, e mostrar-se insensível e invejoso.

    A desobediência é basicamente uma arrogante luta de poder contra qualquer autoridade superior, que pode ser do pai ou da mãe, do líder do sacerdócio, do professor ou, sobretudo, de Deus. A pessoa orgulhosa odeia o fato de que alguém esteja acima dela. Pensa que isso a rebaixa.

    Outro aspecto do orgulho é a contenda. Discussões, disputas, domínio injusto, conflito de gerações, divórcios, maus tratos conjugais, motins e tumultos, tudo isso se enquadra na categoria de orgulho.

    Contendas na família afastam o Espírito do Senhor e também afastam muitos membros de nossa família. A contenda varia de uma palavra ofensiva a conflitos mundiais. Dizem-nos as escrituras que “da soberba só provém a contenda” (Provérbios 13:10; ver também Provérbios 28:25).

     

    Os orgulhosos não aceitam facilmente conselho ou repreensão (ver Provérbios 15:10; Amós 5:10). Usam uma atitude defensiva para justificar e racionalizar suas fraquezas e falhas (ver Mateus 3:9; João 6:30–59).

    Os orgulhosos dependem do mundo para lhes dizer se têm valor ou não. Sua autoestima depende da posição que ocupam pretensamente na escala do sucesso mundano. Sentem-se dignos de mérito como pessoa se houver um número suficiente de indivíduos abaixo deles em termos de realizações, talento, beleza ou inteligência. O orgulho é feio. Ele diz: “Se outro tem sucesso, sou um fracasso”.

    O antídoto para o orgulho é a humildade.

    O antídoto para o orgulho é a humildade — mansidão, submissão (ver Alma 7:23). É o coração quebrantado e o espírito contrito (ver 3 Néfi 9:20; 12:19; D&C 20:37; 59:8; Salmos 34:18; Isaías 57:15; 66:2).

    Podemos escolher ser humildes voluntariamente vencendo a inimizade para com nossos irmãos e nossas irmãs, estimando-os como a nós próprios e elevando-os até onde estamos ou mais alto ainda (ver D&C 38:24; 81:5; 84:106).

    Podemos escolher ser humildes ao receber conselhos e punições (ver Jacó 4:10; Helamã 15:3; D&C 63:55; 101:4–5; 108:1; 124:61, 84; 136:31; Provérbios 9:8).

    Podemos escolher ser humildes perdoando aqueles que nos ofenderam (ver 3 Néfi 13:11, 14; D&C 64:10).

    Podemos escolher ser humildes prestando serviço abnegado (ver Mosias 2:16–17).

    Podemos escolher ser humildes saindo em missão e pregando a palavra capaz de tornar outros humildes (ver Alma 4:19; 31:5 48:20).

    Podemos escolher ser humildes indo mais frequentemente ao templo.

    Podemos escolher ser humildes confessando e abandonando nossos pecados e nascendo de Deus (ver D&C 58:43; Mosias 27:25–26; Alma 5:7–14, 49).

    Podemos escolher ser humildes amando a Deus, submetendo nossa vontade à Dele e colocando-O em primeiro lugar em nossa vida (ver 3 Néfi 11:11; 13:33; Morôni 10:32).

    Temos de limpar o vaso interior vencendo o orgulho (ver Alma 6:2–4; Mateus 23:25–26).

    Temos de ceder “ao influxo do Santo Espírito”, despojar-nos do orgulhoso “homem natural”, santificar-nos “pela expiação de Cristo, o Senhor” e tornar-nos “como uma criança”, submissos, mansos e humildes (Mosias 3:19; ver também Alma 13:28).

     

    L'orgueil

     

    Espagnol (Castellano).

     

    El orgullo y el sacerdocio

     

    Dieter F. Uchtdorf,  Segundo Consejero de la Primera Presidencia, (Octubre 2010 )

     

    Creo que hay una diferencia entre estar orgulloso de ciertas cosas y ser orgulloso. Estoy orgulloso de muchas cosas; estoy orgulloso de mi esposa; estoy orgulloso de nuestros hijos y nietos.

     

    Estoy orgulloso de los jóvenes de la Iglesia, y me regocijo en lo bueno que son. Estoy orgulloso de ustedes, mis queridos y fieles hermanos. Estoy orgulloso de trabajar codo a codo con ustedes como poseedor del santo sacerdocio de Dios.

     

    El orgullo es el pecado de elevarse a uno mismo

     

    El orgullo es pecaminoso, tal como el presidente Benson enseñó de forma tan memorable, ya que produce odio u hostilidad y nos coloca en oposición a Dios y a nuestros semejantes. Esencialmente, el orgullo es un pecado de comparación, porque, aunque por lo general comienza con: “Mira qué maravilloso soy y qué cosas grandiosas he hecho”, siempre parece terminar con: “Por lo tanto, soy mejor que tú”.

     

    Cuando nuestro corazón está lleno de orgullo, cometemos un grave pecado, porque violamos los dos grandes mandamientos7. En lugar de adorar a Dios y amar a nuestro prójimo, ponemos de manifiesto el verdadero objeto de nuestro amor y adoración: la imagen que vemos en el espejo.

     

    La mayoría de nosotros piensa en el orgullo como egocentrismo, vanidad, jactancia, arrogancia o altivez; aunque todos estos son elementos de ese pecado, su núcleo, su esencia, no está en ellos.

     

    La característica principal del orgullo es la enemistad: enemistad hacia Dios y enemistad hacia nuestros semejantes. Enemistad significa “tener odio, tener hostilidad y hallarse en un estado de oposición”. Es el poder por el cual Satanás desea dominarnos.

     

    El orgullo tiene una naturaleza esencialmente competitiva. Ubicamos nuestra voluntad en contra de la de Dios. Cuando lo hacemos blanco a Él de nuestro orgullo, es con la actitud de decir: “Que se haga mi voluntad y no la Tuya”. Como dijo Pablo: “…todos buscan lo suyo propio, no lo que es de Cristo Jesús” (Filipenses 2:21.)

     

    Al competir nuestra voluntad con la de Dios, permitimos que nuestros deseos, apetitos y pasiones se manifiesten desenfrenadamente (véase Alma 38:12; 3 Nefi 12:30).

     

    Los orgullosos no pueden aceptar que la autoridad de Dios dé dirección a sus vidas (véase Helamán 12:6). Ellos oponen sus percepciones de la verdad contra el gran conocimiento de Dios, sus aptitudes contra el poder del sacerdocio de Dios, sus propios logros contra las prodigiosas obras de Él.

     

    Nuestra enemistad contra Dios puede ir marcada con diversas etiquetas, como la rebelión, la dureza de corazón, la dureza de cerviz, la impenitencia, la vanidad, la facilidad para ofenderse y el deseo de recibir señales. Los orgullosos quieren que Dios esté de acuerdo con ellos; pero no tienen interés en cambiar de opinión para que la suya esté de acuerdo con la de Dios.

     

    Otro aspecto importante de este pecado tan prevaleciente es la enemistad hacia nuestros semejantes. Diariamente nos vemos tentados a elevarnos por encima de los demás y disminuirlos (véase Helamán 6:17; D. y C. 58:41).

     

    Los orgullosos hacen de toda persona su adversario, compitiendo con el intelecto, las opiniones, los trabajos, las posesiones, los talentos y otros valores mundanos de los demás. Según las palabras de C. S. Lewis: “El orgullo no encuentra placer en poseer algo, sino en poseerlo en mayor cantidad que el vecino… Lo que nos enorgullece es la comparación, el placer de colocarnos por encima de los demás. Una vez que desaparece el elemento de competencia, el orgullo deja de existir” (Mere Christianity, Nueva York: Macmillan, 1952, págs. 109–110).

     

    El orgullo tiene muchas facetas

     

    El orgullo es un cáncer mortal. Es un pecado de acceso que conduce a una multitud de otras debilidades humanas. De hecho, podría decirse que todos los demás pecados son, en esencia, una manifestación del orgullo.

     

    Ese orgullo tiene muchas facetas. A algunas personas las conduce a deleitarse en lo que consideran su propia valía, en sus logros, talentos, riquezas o posición. Consideran tales bendiciones como evidencia de que son “escogidos”, “superiores” o “más justos” que los demás. Éste es el pecado de: “Gracias a Dios que soy más especial que tú”. Esencialmente es el deseo de ser admirado o envidiado; es el pecado de la auto-glorificación.

     

    Para otras personas, el orgullo se torna en envidia: miran con resentimiento a quienes tienen una mejor posición, más talentos o mayores posesiones que ellos. Procuran herir, menoscabar y destruir a otras personas en un desacertado e indigno intento de elevarse a sí mismos. Cuando las personas a quienes envidian tropiezan o sufren, en el fondo, se alegran.

     

    Sean humildes y llenos de amor

     

    Entonces, ¿cómo conquistamos el pecado del orgullo que prevalece tanto y es tan dañino? ¿Cómo llegamos a ser más humildes?

     

    Es casi imposible envanecerse con orgullo cuando nuestro corazón está lleno de caridad. “Nadie puede ayudar en [esta obra] a menos que sea humilde y lleno de amor”22. Cuando vemos el mundo que nos rodea a través de la lente del amor puro de Cristo, comenzamos a comprender la humildad.

     

    Algunas personas suponen que la humildad tiene que ver con sentirnos culpables e indignos. La humildad no significa convencernos a nosotros mismos de que tenemos poco o ningún valor, ni de que somos insignificantes. Tampoco quiere decir negar o esconder los talentos que Dios nos ha dado. No logramos humildad al pensar menos de nosotros mismos; logramos humildad al pensar menos en nosotros mismos. La humildad llega conforme nos ocupamos de nuestra labor con la actitud de servir a Dios y a nuestros semejantes.

     

    La humildad dirige nuestra atención y amor hacia los demás y hacia los propósitos del Padre Celestial. El orgullo hace lo opuesto. El orgullo saca su energía y su fuerza de los profundos abismos del egoísmo. En el momento en que dejamos de obsesionarnos con nosotros mismos y nos entregamos al servicio, nuestro orgullo disminuye y comienza a morir.

     

    “Cuidaos del orgullo”

     

    Enseñanzas de los Presidentes de la Iglesia: Ezra Taft Benson, 2014,

     

    En su primer discurso de conferencia general como presidente de la Iglesia, el presidente Ezra Taft Benson enseñó sobre las diferencias entre el orgullo y la humildad:

     

    “El orgullo no mira hacia Dios ni se interesa por saber qué es lo correcto. Mira hacia los lados, y discute con los hombres para tener la razón… …

     

    “El orgullo se caracteriza por preguntarse ‘¿Qué quiero hacer con mi vida?’ en lugar de preguntar ‘¿Qué desea Dios que haga con mi vida?’ Es hacer la voluntad propia en lugar de la de Dios. Es temer a los hombres más que a Dios.

     

    “La humildad responde a la voluntad de Dios, al temor a Sus juicios y a las necesidades de las personas a su alrededor. Al orgulloso la aclamación del mundo se le sube a la cabeza, al humilde la aclamación del cielo le conmueve el corazón”1.

     

    La mayoría de nosotros piensa en el orgullo como egocentrismo, vanidad, jactancia, arrogancia o altivez; aunque todos estos son elementos de ese pecado, su núcleo, su esencia, no está en ellos.

     

    La característica principal del orgullo es la enemistad: enemistad hacia Dios y enemistad hacia nuestros semejantes. Enemistad significa “tener odio, tener hostilidad y hallarse en un estado de oposición”. Es el poder por el cual Satanás desea dominarnos.

     

    El orgullo tiene una naturaleza esencialmente competitiva. Ubicamos nuestra voluntad en contra de la de Dios. Cuando lo hacemos blanco a Él de nuestro orgullo, es con la actitud de decir: “Que se haga mi voluntad y no la Tuya”. Como dijo Pablo: “…todos buscan lo suyo propio, no lo que es de Cristo Jesús” (Filipenses 2:21.)

     

    Al competir nuestra voluntad con la de Dios, permitimos que nuestros deseos, apetitos y pasiones se manifiesten desenfrenadamente (véase Alma 38:12; 3 Nefi 12:30).

     

    Los orgullosos no pueden aceptar que la autoridad de Dios dé dirección a sus vidas (véase Helamán 12:6). Ellos oponen sus percepciones de la verdad contra el gran conocimiento de Dios, sus aptitudes contra el poder del sacerdocio de Dios, sus propios logros contra las prodigiosas obras de Él.

     

    Nuestra enemistad contra Dios puede ir marcada con diversas etiquetas, como la rebelión, la dureza de corazón, la dureza de cerviz, la impenitencia, la vanidad, la facilidad para ofenderse y el deseo de recibir señales. Los orgullosos quieren que Dios esté de acuerdo con ellos; pero no tienen interés en cambiar de opinión para que la suya esté de acuerdo con la de Dios.

     

    Otro aspecto importante de este pecado tan prevaleciente es la enemistad hacia nuestros semejantes. Diariamente nos vemos tentados a elevarnos por encima de los demás y disminuirlos (véase Helamán 6:17; D. y C. 58:41).

     

    Los orgullosos hacen de toda persona su adversario, compitiendo con el intelecto, las opiniones, los trabajos, las posesiones, los talentos y otros valores mundanos de los demás. Según las palabras de C. S. Lewis: “El orgullo no encuentra placer en poseer algo, sino en poseerlo en mayor cantidad que el vecino… Lo que nos enorgullece es la comparación, el placer de colocarnos por encima de los demás. Una vez que desaparece el elemento de competencia, el orgullo deja de existir” (Mere Christianity, Nueva York: Macmillan, 1952, págs. 109–110).

     

    Los orgullosos temen más al juicio de los hombres que al juicio de Dios. (véase D. y C. 3:6–7; 30:1–2; 60:2). La idea “¿Qué pensarán los demás de mí?” pesa más para ellos que la de “¿Qué pensará Dios de mí?”.

     

    Por culpa del orgullo Cristo fue crucificado. Los fariseos estaban encolerizados porque Jesús proclamaba ser el Hijo de Dios, lo cual ponía en peligro la posición de ellos, y fue por eso que tramaron Su muerte (véase Juan 11:53).

     

    El temor de los juicios de los hombres se manifiesta en la competencia que tiene lugar por lograr la aprobación de los demás. Los orgullosos aman “más la gloria de los hombres que la gloria de Dios” (Juan 12:42–43). El pecado se manifiesta en los motivos que tenemos para hacer lo que hacemos. Jesús dijo que Él hacía siempre lo que le agradaba al Padre (véase Juan 8:29). ¿No sería mejor que nuestro motivo fuera agradar a Dios en lugar de tratar de colocarnos por encima de nuestros hermanos y tratar de superarlos?

     

    A algunos orgullosos no les preocupa tanto que su salario sea suficiente para sus necesidades como que sea mayor de lo que ganan otros. Hallan su recompensa en estar un poquito por encima de los demás. Ésa es la enemistad del orgullo.

     

    Cuando el orgullo se apodera de nuestro corazón, perdemos nuestra independencia del mundo y entregamos nuestra libertad al cautiverio de los juicios humanos. La voz del mundo resuena más fuerte que los susurros del Espíritu Santo. El razonamiento de los hombres hace caso omiso de las revelaciones de Dios y los orgullosos se sueltan de la barra de hierro (véase 1 Nefi 8:19–28; 11:25; 15:23–24)9.

     

    El orgullo se manifiesta de diversas formas.

     

    El orgullo es un pecado que se puede observar fácilmente en los demás pero que raramente admitimos en nosotros mismos. La mayoría de nosotros lo considera un pecado de los que están en la cumbre, como los ricos y los eruditos, que nos miran a nosotros por encima del hombro (Véase 2 Nefi 9:42). Sin embargo, hay una dolencia mucho más común entre nosotros, y es la del orgullo de los que están abajo mirando hacia arriba; éste se manifiesta de diversas formas, como la crítica, el chisme, la calumnia, la murmuración, la pretensión de gastar más de lo que tenemos, la envidia, la codicia, la supresión de la gratitud y el elogio que podrían elevar a otro, y el rencor y los celos.

     

    La desobediencia es esencialmente una lucha orgullosa por el poder en contra de alguien que tiene autoridad sobre nosotros. Puede tratarse de los padres, de un líder del sacerdocio, de un maestro y hasta de Dios. El orgulloso aborrece la idea de que haya alguien que esté por encima de él, pues piensa que esto rebaja su propia posición.

     

    Otro aspecto del orgullo es la contención. Las discusiones acaloradas, las peleas, el dominio injusto, las brechas entre las generaciones, el divorcio, el abuso de cónyuges, los tumultos y disturbios, todos encajan en esta categoría del orgullo.

     

    La contención en la familia aleja de ella al Espíritu del Señor; también aparta a muchas personas de su familia. Su expresión varía desde una palabra hostil hasta los conflictos mundiales. Las Escrituras nos dicen que “la soberbia producirá contienda” (Proverbios 13:10; véase también Proverbios 28:25).

     

    Las Escrituras testifican que los orgullosos se ofenden fácilmente y guardan rencor por las ofensas (véase 1 Nefi 16:1–3). Se niegan a perdonar a fin de mantener a la otra persona en el papel de deudor y de justificar sus sentimientos heridos.

     

    El orgulloso no acepta mansamente los consejos ni la corrección (véase Proverbios 15:10; Amós 5:10). Se pone a la defensiva para justificar sus debilidades y sus faltas (véase Mateo 3:9; Juan 6:30–59).

     

    El orgulloso depende del mundo para que le diga si vale algo o no. Su autoestima se determina según el lugar en que se le juzgue en la escala del éxito mundano. Se considera de valor si la cantidad de personas que están por debajo de él en logros, talento, belleza o intelecto es bastante grande. El orgullo es muy malo. Su concepto es: “Si tú tienes éxito, yo soy un fracaso”.

     

    El antídoto contra el orgullo es la humildad.

     

    El orgullo nos afecta a todos, en momentos diferentes y con distinta intensidad. En esto se puede ver por qué el edificio que estaba en el sueño de Lehi y que representaba el orgullo del mundo era vasto y espacioso, y se reunieron en él grandes multitudes (véase 1 Nefi 8:26, 33; 11:35–36).

     

    El antídoto contra el orgullo es la humildad: la mansedumbre, la sumisión (véase Alma 7:23). Es el corazón quebrantado y el espíritu contrito (Véase 3 Nefi 9:20; 12:19; D. y C. 20:37; 59:8; Salmos 34:18; Isaías 57:15; 66:2).

     

    Elijamos ser humildes.

     

    Podemos elegir ser humildes al vencer la enemistad hacia nuestros hermanos, amándolos como a nosotros mismos y elevándolos hasta nuestra altura o por encima de nosotros (véase D. y C. 38:24; 81:5; 84:106).

     

    Podemos elegir ser humildes al aceptar los consejos y las amonestaciones que se nos dan (Véase Jacob 4:10; Helamán 15:3; D. y C. 63:55; 101:4–5; 108:1; 124:61, 84; 136:31; Proverbios 9:8).

     

    Podemos elegir ser humildes al perdonar a aquellos que nos hayan ofendido (Véase 3 Nefi 13:11, 14; D. y C. 64:10).

     

    Podemos elegir ser humildes al prestar servicio con abnegación (véase Mosíah 2:16–17).

     

    Podemos elegir ser humildes al salir a la misión y predicar la palabra que puede hacer que otras personas también se vuelvan humildes (véase Alma 4:19; 31:5; 48:20).

     

    Podemos elegir ser humildes al asistir con más frecuencia al templo.

     

    Podemos elegir ser humildes al confesar y abandonar nuestros pecados y nacer nuevamente de Dios (véase D. y C. 58:43; Mosíah 27:25–26; Alma 5:7–14, 49).

     

    Podemos elegir ser humildes al amar a Dios, someter nuestra voluntad a la Suya y darle a Él el lugar de prioridad en nuestra vida (Véase 3 Nefi 11:11; 13:33; Moroni 10:32).

     

    Debemos limpiar lo interior del vaso venciendo el orgullo (véase Alma 6:2–4; Mateo 23:25–26).

     

    Debemos someternos “al influjo del Santo Espíritu”, despojarnos del orgulloso “hombre natural”, convertirnos en santos “por la expiación de Cristo el Señor” y volvernos “como un niño: sumiso, manso, humilde” (Mosíah 3:19; véase también Alma 13:28).

     

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    Qu’est-ce que la charité ? Comment devient-on charitable ?

     

    Le prophète Mormon définit la charité comme étant l’amour pur du Christ5,         

     

    Paul enseigne que « la charité… est le lien de la perfection6 »

     

    Et Néphi nous rappelle que « le Seigneur Dieu a donné le commandement que tous les hommes doivent avoir la charité, et cette charité, c’est l’amour7 ».

     

    Le prophète Mormon enseigne aussi que la charité est accordée aux vrais disciples du Seigneur et qu’elle purifie ceux qui la possèdent8. De plus, nous apprenons que la charité est un don divin que nous devons rechercher et pour lequel nous devons prier. Nous devons avoir la charité pour hériter du royaume céleste9.

     

    L’étape suivante est la prière. Le prophète Mormon nous exhorte : « Priez le Père de toute l’énergie de votre cœur, afin d’être remplis de cet amour. » Cet amour selon Dieu est la charité, et si nous sommes remplies de cet amour, « nous [serons] semblables à lui11 ». 

     

    Le président Monson enseigne : « La charité, c’est être patient avec quelqu’un qui nous a déçus ; c’est résister à la tendance à s’offenser facilement. C’est accepter les faiblesses et les imperfections. C’est accepter les gens comme ils sont vraiment. C’est voir au-delà de l’apparence physique les qualités qui ne s’estomperont pas avec le temps. C’est résister à l’envie de mettre les autres dans des catégories13. »

     

    Quand nous avons la charité, nous sommes prêtes à rendre service et à aider quand cela ne nous arrange pas et sans attendre de reconnaissance ou de réciprocité. Nous n’attendons pas qu’on nous demande d’aider, parce que cela fait partie de notre nature. En choisissant d’être bonnes, attentionnées, généreuses, patientes, prêtes à accepter, à pardonner, à accueillir, et désintéressées, nous découvrons que nous abondons en charité. Quand nous rendons service et que nous faisons preuve de charité, cela nous aide à surmonter nos propres difficultés qui nous semblent alors moins grandes.

     

    Quel don spirituel est le plus grand de tous selon les enseignements de Paul? (Voir 1Corinthiens 13.)

     

    1Corinthiens 13 :1Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas la charité, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. 2Et quand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurais même toute la foi jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas la charité, je ne suis rien. 3Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n'ai pas la charité, cela ne me sert de rien. 

     

    Pourquoi la charité est-elle plus importante que n’importe quel autre don? 

     

    1 Corinthiens 13: 8La charité ne périt jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra. 9Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie, 10mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra. 11Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant; lorsque je suis devenu homme, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant. 12Aujourd'hui nous voyons au moyen d'un miroir, d'une manière obscure, mais alors nous verrons face à face; aujourd'hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j'ai été connu. 13Maintenant donc ces trois choses demeurent: la foi, l'espérance, la charité; mais la plus grande de ces choses, c'est la charité.

     

    Comment pouvons-nous acquérir plus de charité? (Voir Moroni 7:44–48.)  

     Moroni 7:44 Sinon, sa foi et son espérance sont vaines, car nul n’est acceptable devant Dieu, si ce n’est ceux qui sont doux et humbles de cœur; et si un homme est doux et humble de cœur, et confesse par le pouvoir du Saint-Esprit que Jésus est le Christ, il doit nécessairement avoir la charité; car s’il n’a pas la charité, il n’est rien; c’est pourquoi il doit nécessairement avoir la charité.

     

    Portugais(Português).

     

     

     

    La Charité

     Silvia H. Allred; Outubro 2011.

     Primeira Conselheira na Presidência Geral da Sociedade de Socorro

     

    A Caridade Nunca Falha;

     

     O que é caridade? Como adquirimos caridade?

     

    O Profeta Mórmon definiu caridade como “o puro amor de Cristo”5,

     

    ao passo que Paulo ensinou que “[caridade] (…) é o vínculo da perfeição”6,

     

    e Néfi nos lembrou que “deu o Senhor Deus um mandamento de que todos os homens tenham caridade; e a caridade é amor”.7

     

    O Profeta Mórmon também ensinou que a caridade é concedida aos verdadeiros discípulos do Senhor e que a caridade purifica aqueles que a têm.8Além disso, aprendemos que a caridade é um dom divino que devemos buscar e orar para receber. Precisamos ter caridade no coração para herdar o reino celestial.9

     

    Devemos, primeiro, ter o desejo de aumentar nossa caridade e de ser mais semelhantes a Cristo.

     

    O passo seguinte é orar. O Profeta Mórmon nos exorta a “[rogar] ao Pai, com toda a energia de [nosso] coração, [para] que [sejamos] cheios desse amor”. Esse amor divino é a caridade, e à medida que nos enchermos desse amor, “[seremos] como ele”.11

     

    O Presidente Monson ensinou: “Caridade é ter paciência com a pessoa que nos decepcionou; é resistir ao impulso de se ofender com facilidade. É aceitar fraquezas e limitações. É aceitar as pessoas como elas realmente são. É enxergar, além da aparência física, os atributos que não se extinguirão com o tempo. É resistir ao impulso de categorizar as pessoas”.13

     

    Quando temos caridade, estamos dispostas a servir e a ajudar as pessoas quando isso é inconveniente e sem pensar em reconhecimento ou retribuição. Não esperamos ser designados a ajudar, porque se torna nossa própria natureza. Ao decidirmos ser bondosas, prestativas, generosas, pacientes, tolerantes, dispostas a perdoar, acolhedoras e abnegadas, descobrimos que transbordamos em caridade.

     

    Qual Paulo ensinou ser o maior de todos os dons espirituais? (Ver I Coríntios 13.)

     

    I Coríntios 13 : 1 AINDA que eu falasse as línguas dos homens e dos anjos, e não tivesse caridade, seria como o metal que soa ou como o sino que tine.
    2 E ainda que tivesse o dom de profecia, e conhecesse todos os mistérios e toda a ciência, e ainda que tivesse toda a fé, de maneira tal que transportasse os montes, e não tivesse caridade, nada seria.
    3 E ainda que distribuísse toda a minha fortuna para sustento dos pobres, e ainda, que entregasse o meu corpo para ser queimado, e não tivesse caridade, nada disso me aproveitaria.

     

    Por que a caridade é mais importante que qualquer outro dom espiritual? 

     

    I Coríntios 13: 8 a caridade nunca falha: mas havendo profecias, serão aniquiladas: havendo línguas, cessarão; havendo ciência, desaparecerá;
    9 Porque, em parte, conhecemos, e em parte profetizamos;
    10 Mas, quando vier o que é perfeito, então o que é em parte será aniquilado.
    11 Quando eu era menino, falava como menino, sentia como menino, descorria como menino, mas, logo que cheguei a ser homem, acabei com as coisas de menino.
    12 Porque agora vemos por espelho em enigma, mas então veremos face a face; agora conheço em parte, mas então conhecerei como também sou conhecido.
    13 Agora, pois, permanecem a fé, a esperança e a caridade, estas três, mas a maior destas é a caridade.

     

    Como podemos desenvolver maior caridade? (Ver Morôni 7:44–48.)

     

    Morôni 7:44    44 Sem isso sua fé e esperança são vãs, porque ninguém é aceitável perante Deus, a não ser os humildes e brandos de coração; e se um homem é humilde e brando de coração e confessa, pelo poder do Espírito Santo, que Jesus é o Cristo, ele precisa ter caridade; pois se não tem caridade, nada é; portanto ele precisa ter caridade.

     

    Espagnol(Castellano)

     

    La Charité

     

     

     La caridad nunca deja de ser.

     

     Silvia H. Allred;   Octubre 2011.

     Primera Consejera de la Presidencia General de la Sociedad de Socorro

     

     ¿Qué es la caridad? ¿Cómo logramos la caridad?

     

     El profeta Mormón define la caridad como “el amor puro de Cristo”5;

     a su vez, Pablo enseña que “…la caridad… es el vínculo de la perfección”6 

     y Nefi nos recuerda que “…el Señor Dios ha dado el mandamiento de que todos los hombres tengan caridad, y esta caridad es amor”7.

     

    Al revisar la descripción previa que Pablo hizo de la caridad, aprendemos que la caridad no es un acto único ni algo que damos, sino una condición del ser, una condición del corazón, sentimientos bondadosos que generan actos de amor.

     

    Mormón también enseña que la caridad se otorga a todos los que son verdaderos discípulos del Señor y que la caridad purifica a quienes la poseen8. Además, aprendemos que la caridad es un don divino que debemos procurar y pedir en oración. Tenemos que tener caridad en nuestro corazón para heredar el reino celestial9.

     

     Primero, debemos tener el deseo de tener más caridad y de ser más como Cristo.

    El siguiente paso es orar. Mormón nos exhorta a “…[pedir] al Padre con toda la energía de [nuestros] corazones, que [seamos] llenos de este amor”. Este amor divino es la caridad, y al ser llenos de ese amor, “[seremos] semejantes a él11.

    El leer las Escrituras a diario puede enfocar nuestras mentes en el Salvador y en un deseo de ser más como Él.

     

    El presidente Monson enseña: “La caridad es tener paciencia con alguien que nos ha defraudado. Es resistir el impulso de ofenderse con facilidad. Es aceptar las debilidades y los defectos. Es aceptar a las personas como realmente son. Es ver, más que las apariencias físicas, los atributos que no empalidecerán con el tiempo. Es resistir el impulso de categorizar a otras personas”13.

    Cuando tenemos caridad, estamos dispuestos a servir y ayudar a los demás cuando no es fácil y sin esperar reconocimiento ni reciprocidad. No esperamos que se nos asigne ayudar, porque es parte de nuestra naturaleza. Al decidir ser bondadosas, cuidadosas, generosas, pacientes, dispuestas a aceptar, a perdonar, a incluir a todos y a ser desinteresadas, descubrimos que estamos llenas de caridad.

     

    ¿Cuál enseñó Pablo que es el mayor de todos los dones espirituales?

     

    1 Corintios 13 :  1 Si yo hablase lenguas humanas y angélicas, y no tengo caridad, vengo a ser como metal que resuena o címbalo que retiñe.

    Y si tuviese profecía, y entendiese todos los misterios y todo conocimiento, y si tuviese toda la fe, de tal manera que trasladase los montes, y no tengo caridad, nada soy.

    Y si repartiese todos mis bienes para dar de comer a los pobres, y si entregase mi cuerpo para ser quemado, y no tengo caridad, de nada me sirve

     

    ¿Por qué es el amor más importante que cualquier otro don espiritual? 

     

    1 Corintios 13:  La caridad nunca deja de ser; mas las profecías se acabarán, y cesarán las lenguas, y el conocimiento se acabará;

     porque en parte conocemos, y en parte profetizamos;

    10 mas cuando venga lo que es perfecto, entonces lo que es en parte se acabará.

    11 Cuando yo era niño, hablaba como niño, pensaba como niño, juzgaba como niño; mas cuando ya fui hombre, dejé lo que era de niño.

    12 Ahora vemos por espejo, oscuramente; mas entonces veremos cara a cara. Ahora conozco en parte; pero entonces conoceré como fui conocido.

    13 Y ahora permanecen la fe, la esperanza y la caridad, estas tres; pero la mayor de ellas es la caridad.

     

    ¿Cómo podemos desarrollar mayor amor? (Véase Moroni 7:44–48.)

     Moroni 7:44 Porque si no, su fe y su esperanza son vanas, porque nadie es aceptable a Dios sino los mansos y humildes de corazón; y si un hombre es manso y humilde de corazón, y confiesa por el poder del Espíritu Santo que Jesús es el Cristo, es menester que tenga caridad; porque si no tiene caridad, no es nada; por tanto, es necesario que tenga caridad.

     

     

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    À celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a.

     

    En Matthieu 25 on lit  la parabole des talents.

     

    14Il en sera comme d'un homme qui, partant pour un voyage, appela ses serviteurs, et leur remit ses biens. 15Il donna cinq talents à l'un, deux à l'autre, et un au troisième, à chacun selon sa capacité, et il partit. Aussitôt 16celui qui avait reçu les cinq talents s'en alla, les fit valoir, et il gagna cinq autres talents. 17De même, celui qui avait reçu les deux talents en gagna deux autres. 18Celui qui n'en avait reçu qu'un alla faire un creux dans la terre, et cacha l'argent de son maître. 19Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint, et leur fit rendre compte. 20Celui qui avait reçu les cinq talents s'approcha, en apportant cinq autres talents, et il dit: Seigneur, tu m'as remis cinq talents; voici, j'en ai gagné cinq autres. 21Son maître lui dit: C'est bien, bon et fidèle serviteur; tu as été fidèle en peu de chose, je te confierai beaucoup; entre dans la joie de ton maître. Et 22Celui qui avait reçu les deux talents a fait la même chose, mais celui qui a reçu 1 seul talent … 24Celui qui n'avait reçu qu'un talent s'approcha ensuite, et il dit: Seigneur, je savais que tu es un homme dur, qui moissonnes où tu n'as pas semé, et qui amasses où tu n'as pas vanné; 25j'ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre; voici, prends ce qui est à toi. 26Son maître lui répondit: Serviteur méchant et paresseux, tu savais que je moissonne où je n'ai pas semé, et que j'amasse où je n'ai pas vanné; 27il te fallait donc remettre mon argent aux banquiers, et, à mon retour, j'aurais retiré ce qui est à moi avec un intérêt. 28Otez-lui donc le talent, et donnez-le à celui qui a les dix talents. 29Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a. 30Et le serviteur inutile, jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.
    31Lorsque le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s'assiéra sur le trône de sa gloire. 32Toutes les nations seront assemblées devant lui. Il séparera les uns d'avec les autres, comme le berger sépare les brebis d'avec les boucs; 33et il mettra les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche.

     

     Les talents représentent les dons venant de Dieu.

     

    Qu’enseigne cette parabole au sujet de la récompense éternelle que notre Père céleste nous donnera en bénédiction? (que ceux qui semblent posséder moins de dons venant de Dieu recevront toutes les bénédictions s’ils utilisent pleinement leurs dons.)

     

    A votre avis, pourquoi est-il important de partager nos talents ou nos dons?

    À celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a.

     Espagnol(Castellano)

     

    En el capitulo 25 de Mateo, del versiculo 14 al 33, Ustedes podran leer la paràbola de los talentos.

     

    Mateo 25 : 14 Porque el reino de los cielos es como un hombre que, partiendo lejos, llamó a sus siervos y les encomendó sus bienes. 15 Y a uno dio cinco talentos, y al otro dos, y al otro uno, a cada uno conforme a su capacidad; y luego se fue lejos. 16 Y el que había recibido cinco talentos fue y negoció con ellos, y ganó otros cinco talentos. 17 Asimismo, el que había recibido dos, ganó también otros dos. 18 Pero el que había recibido uno fue y cavó en la tierra, y escondió el dinero de su señor. 19 Y después de mucho tiempo, volvió el señor de aquellos siervos y hizo cuentas con ellos. 20 Y llegando el que había recibido cinco talentos, trajo otros cinco talentos, diciendo: Señor, cinco talentos me encomendaste; he aquí, he ganado otros cinco talentos sobre ellos. 21 Y su señor le dijo: Bien, buen siervo y fiel; sobre poco has sido fiel, sobre mucho te pondré; entra en el gozo de tu señor. 22 Y llegando también el que había recibido dos talentos, dijo: Señor, dos talentos me encomendaste; he aquí, he ganado otros dos talentos sobre ellos. 23 Su señor le dijo: Bien, buen siervo y fiel; sobre poco has sido fiel, sobre mucho te pondré; entra en el gozo de tu señor. 24 Y llegando también el que había recibido un talento, dijo: Señor, te conocía que eres hombre duro, que siegas donde no sembraste y recoges donde no esparciste; 25 y tuve miedo, y fui y escondí tu talento en la tierra; aquí tienes lo que es tuyo. 26 Y respondiendo su señor, le dijo: Siervo malo y negligente, sabías que siego donde no sembré y que recojo donde no esparcí; 27 por tanto, debías haber dado mi dinero a los banqueros y, al venir yo, hubiera recibido lo que es mío con intereses. 28 Quitadle, pues, el talento y dadlo al que tiene diez talentos. 29 Porque al que tiene, le será dado y tendrá más; y al que no tiene, aun lo que tiene le será quitado. 30 Y al siervo inútil echadle en las tinieblas de afuera; allí será el llanto y el crujir de dientes. 31 Y cuando el Hijo del Hombre venga en su gloria y todos los santos ángeles con él, entonces se sentará sobre el trono de su gloria. 32 Y serán reunidas delante de él todas las naciones; entonces apartará los unos de los otros, como aparta el pastor las ovejas de los cabritos. 33 Y pondrá las ovejas a su derecha, y los cabritos a la izquierda. 

    ¿Qué nos enseña esta parábola en cuanto a la recompensa eterna que nos dará nuestro Padre Celestial? (Entre las respuestas se podría mencionar que las personas que aparentemente tengan menos dones de Dios recibirán toda bendición si usan al máximo esos dones.)

    ¿Por qué piensan que es importante compartir nuestros talentos o dones?

     

    Portugais (português)

     

    No capitulo 25 de Mateus, vamos ver a parábola dos talentos.

     

    14 Porque isto é também como um homem que, partindo para fora da terra, chamou os seus servos, e entregou-lhes os seus bens;
    15 E a um deu cinco talentos, e a outro dois, e a outro um, a cada um segundo a sua capacidade, e ausentou-se logo para longe.
    16 E, tendo ele partido, o que recebera cinco talentos negociou com eles, e granjeou outros cinco talentos.
    17 Da mesma sorte, o que recebera dois, granjeou também outros dois;
    18 Mas o que recebera um, foi e cavou na terra e escondeu o dinheiro do seu senhor.
    19 E muito tempo depois veio o Senhor daqueles servos, e fez contas com eles.
    20 Então aproximou-se o que recebera cinco talentos, e trouxe-lhe outros cinco talentos, dizendo: Senhor, entregaste-me cinco talentos; eis aqui outros cinco talentos que granjeei com eles.
    21 E o seu Senhor lhe disse: Bem está, servo bom e fiel. Sobre o pouco foste fiel, sobre muito te colocarei; entra no gozo do teu Senhor.
    22 E, chegando também o que tinha recebido dois talentos, disse: Senhor, entregaste-me dois talentos; eis que com eles granjeei outros dois talentos.
    23 Disse-lhe o seu senhor: Bem está, bom e fiel servo. Sôbre o pouco foste fiel, sôbre muito te colocarei; entra no gozo do teu Senhor.
    24 Mas, chegando também o que recebera um talento, disse: Senhor, eu conhecia-te, que és um homem duro, que ceifas onde não semeaste e ajuntas onde não espalhaste;
    25 E, atemorizado, escondi na terra o teu talento; aqui tens o que é teu.
    26 Respondendo, porém, o seu senhor, disse-lhe: Mau e negligente servo; sabes que ceifo onde não semeei e ajunto onde não espalhei;
    27 Devias então ter dado o meu dinheiro aos banqueiros, e, quando eu viesse, receberia o meu com os juros.
    28 Tirai-lhe pois o talento, e dai-o ao que tem os dez talentos.
    29 Porque a qualquer que tiver será dado, e terá em abundância; mas ao que não tiver até o que tem ser-lhe-á tirado.
    30 Lançai pois o servo inútil nas trevas exteriores; ali haverá pranto e ranger de dentes.
    31 E quando o Filho do homem vier em sua glória, e todos os santos anjos com ele, então se assentará no trono da sua glória;
    32 E todas as nações serão reunidas diante dele, e apartará uns dos outros, como o pastor aparta dos bodes as ovelhas;
    33 E porá as ovelhas à sua direita, mas os bodes à esquerda.

    O que essa parábola ensina a respeito da recompensa eterna com que nosso Pai Celestial irá nos abençoar? (As respostas podem incluir que as pessoas que parecem ter menos dons de Deus receberão todas as bênçãos, se utilizarem plenamente os dons que receberam.)

    Por que acham ser importante compartilharmos nossos talentos e dons?

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    Vous ne savez ni le jour, ni l'heure.

    Dans Matthieu chapitre 25, du verset 1 à 13, on peut lire la parabole des  10 vierges.  La parabole des dix vierges est basée sur les traditions des mariages juifs. A l’époque de Jésus, le marié et ses amis accompagnaient la mariée de sa maison à celle du marié. Les amies de la mariée attendaient sur le chemin pour se joindre à eux. Lorsqu’ils arrivaient à la maison du marié, ils entraient tous pour la noce. Ces mariages se déroulaient généralement le soir, et ceux qui attendaient les mariés portaient de petites lampes à huile.

     

     

     

    Des ces dix vierges 5 ont apporté leur lampe avec huile et un vase avec huile extra. Et les autres 5 n’ont pas apporté d’huile extra.

     

     

     

    Matthieu 25 : 5Comme l'époux tardait, toutes s'assoupirent et s'endormirent. 6Au milieu de la nuit, on cria: Voici l'époux, allez à sa rencontre! 7Alors toutes ces vierges se réveillèrent, et préparèrent leurs lampes. 8Les folles dirent aux sages: Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s'éteignent. 9Les sages répondirent: Non; il n'y en aurait pas assez pour nous et pour vous; allez plutôt chez ceux qui en vendent, et achetez-en pour vous. 10Pendant qu'elles allaient en acheter, l'époux arriva; celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. 11Plus tard, les autres vierges vinrent, et dirent: Seigneur, Seigneur, ouvre-nous. 12Mais il répondit: Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas. 13Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l'heure.

     

     

     

     Observez bien : Tout est une représentation, le marié représente Jésus Christ, Les dix vierges représentent nous tous dans le monde. Et l’huile, mais oui, l’huile représente nos actions, nos décisions pendant toute notre vie

     

     

     

    En gardant à l’esprit que l’huile de la parabole représente la préparation pour la Seconde Venue de Jésus Christ,   On va lire a nouveau les versets 12 Le seigneur nous dira : « Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas.  Et le verset 13 est frappant «Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l'heure. »

     

    Vous ne savez ni le jour, ni l'heure.

     

     

    Espagnol(Castellano)

     

     

     

    En Mateo 25 del versiculo 1 al 13 podemos leer la paràbola de las diez virgenes. Esa parábola se basa en las costumbres matrimoniales judías. En la época de Jesús, el novio y sus amigos escoltaban a la novia desde su hogar hasta la casa del esposo (novio). Por el camino, las amigas de la novia esperaban para unirse a la procesión. Al llegar a la casa del esposo (novio), todos entraban para participar en la boda, la cual usualmente se llevaba a cabo al atardecer; por esa razón, los que esperaban a la novia y al esposo (novio) llevaban pequeñas lámparas llenas de aceite. De esas diez virgenes, 5 llenaron sus lamparas de azeite y llevaron azeite extra en un vaso. Las outras 5 talvez llenaron sus lamparas pero no llevaron azeite extra.

     

     

     

    Mateo 25 : 5 Y tardándose el novio, cabecearon todas y se durmieron. 6 Y a la medianoche se oyó un clamor: He aquí el novio viene; salid a recibirle. 7 Entonces todas aquellas vírgenes se levantaron y arreglaron sus lámparas. 8 Y las insensatas dijeron a las prudentes: Dadnos de vuestro aceite, porque nuestras lámparas se apagan. 9 Pero las prudentes respondieron, diciendo: Para que no nos falte a nosotras y a vosotras, id más bien a los que venden y comprad para vosotras mismas.10 Y mientras ellas iban a comprar, vino el novio; y las que estaban preparadas entraron con él a las bodas; y se cerró la puerta.11 Y después vinieron también las otras vírgenes, diciendo: ¡Señor, Señor, ábrenos! 12 Mas respondiendo él, dijo: De cierto os digo que no os conozco.13 Velad, pues, porque no sabéis el día ni la hora en que el Hijo del Hombre ha de venir.

     

    Observe bien, todo es una representation, El novio es Jésus Cristo, Las virgenes somos todos nosotros en el mundo y el aceite, sì, el aceite representa nuestros actos, nuestras decisiones durante toda nuestra vida •

     

    Teniendo en mente que el aceite de la parábola representa la preparación para la Segunda Venida de Jésus Cristo, leemos otra vez los versiculos 12 el Senor nos dice : «  De cierto os digo que no os conozco. » y el versiculo 13 es una advertencia: «Velad, pues, porque no sabéis el día ni la hora en que el Hijo del Hombre ha de venir.

     

    Vous ne savez ni le jour, ni l'heure.

    Portugais (português)

     

     

     

    No Livro de Mateus 25:1–13. podemos ler a parábola das dez virgens que baseia-se nos costumes matrimoniais judaicos. Na época de Jesus, o noivo e seus amigos acompanhavam a noiva de sua casa até a casa do noivo. As amigas da noiva esperavam no caminho para unirem-se ao grupo. Quando chegavam na casa do noivo, todos entravam para o casamento. Esses casamentos geralmente eram realizados à noite, de modo que as pessoas que esperavam o noivo e a noiva levavam consigo pequenas lamparinas com óleo.

     

     Mateus Capítulo 25 : 1-13.

     

    1 ENTÃO o reino dos céus será semelhante a dez virgens que, tomando as suas lâmpadas; saíram ao encontro do esposo,
    2 E cinco delas eram prudentes,
    e cinco loucas.

    3 As loucas, tomando as suas lâmpadas,
    não levaram azeite
    consigo.
    4 Mas as prudentes levaram azeite em suas vasilhas, com as suas lâmpadas.
    5 E, tardando o esposo, tosquenejaram todas, e adormeceram.
    6 Mas à meia-noite ouviu-se um clamor: Aí vem o esposo, saí-lhe ao encontro.
    7 Então todas aquelas virgens se levantaram,
    e prepararam
    as suas lâmpadas.
    8 E as loucas disseram às prudentes: Dai-nos do vosso azeite, porque
    as nossas lâmpadas se apagam.
    9 Mas as prudentes responderam, dizendo: Não seja caso que nos falte
    a nós e a vós, ide antes aos que o vendem, e comprai-o para vós.
    10 E, tendo elas ido comprá-lo, chegou o esposo,
    e as que estavam preparadas
    entraram com ele para as bodas, e fechou-se a porta.
    11 E depois chegaram também as outras virgens, dizendo: Senhor, Senhor, abre-nos.
    12 E ele, respondendo, disse: Em verdade vos digo
    que vos não conheço.
    13 Vigiai pois, porque não sabeis o dia nem a hora em que o Filho do homem há-de vir. 

     

     Observe bem; tudo é uma representaçao, o esposo(noivo), é Jesus Cristo.  As virgens, sao, nòs todos no mundo inteiro e o azeite, sim, sim, o azeite, representa todas nossas açoes, nossas decisões durante toda nossa vida.

     

     Tomando em conta que o azeite representa a preparaçao para a segunda vinda de Jesus Cristo; lemos outra vez os versiculos : 12 E ele, respondendo, disse: Em verdade vos digo que vos não conheço.”
     “13 Vigiai pois, porque não sabeis o dia nem a hora em que o Filho do homem há-de vir.”

     

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